. . "Adrien Solis"@fr . . . . "Adrien Solis"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "1969-02-13"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1969-02-13"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "11248"^^ . . . . . . . . . . . . . "1"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "10944792"^^ . . . . . . . "Adrien Solis est un acteur et metteur en sc\u00E8ne fran\u00E7ais n\u00E9 le 13 f\u00E9vrier 1969. Tr\u00E8s impliqu\u00E9 dans le doublage, il est notamment la voix fran\u00E7aise r\u00E9guli\u00E8re de Noel Fisher. Mais il est connu pour \u00EAtre la voix fran\u00E7aise de plusieurs personnages principaux d'anim\u00E9s japonais tels que Kirua dans Hunter \u00D7 Hunter, Yukio Okumura dans Blue Exorcist, Suzaku Kururugi dans Code Geass, Tetsuya Kuroko dans Kuroko's Basket, Raku Ichijo dans Nisekoi, Moritaka Mashiro dans Bakuman, Armin Arlert dans L'Attaque des Titans, Nagisa Shiota dans Assassination Classroom, Kazuto Kirigaya dans Sword Art Online, Sonic dans One Punch Man ou encore Ken Kaneki dans Tokyo Ghoul."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ""@fr . . . . . . . "Adrien Solis est un acteur et metteur en sc\u00E8ne fran\u00E7ais n\u00E9 le 13 f\u00E9vrier 1969. Tr\u00E8s impliqu\u00E9 dans le doublage, il est notamment la voix fran\u00E7aise r\u00E9guli\u00E8re de Noel Fisher. Mais il est connu pour \u00EAtre la voix fran\u00E7aise de plusieurs personnages principaux d'anim\u00E9s japonais tels que Kirua dans Hunter \u00D7 Hunter, Yukio Okumura dans Blue Exorcist, Suzaku Kururugi dans Code Geass, Tetsuya Kuroko dans Kuroko's Basket, Raku Ichijo dans Nisekoi, Moritaka Mashiro dans Bakuman, Armin Arlert dans L'Attaque des Titans, Nagisa Shiota dans Assassination Classroom, Kazuto Kirigaya dans Sword Art Online, Sonic dans One Punch Man ou encore Ken Kaneki dans Tokyo Ghoul."@fr . . . "Fran\u00E7aise"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "188454637"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Adrien Solis"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .