. . . . . . . . . . . "Acher ben David"@fr . . "Asher ben David"@en . "147987426"^^ . . . . . . . . "9136757"^^ . "1603"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Acher ben David est un kabbaliste juif, n\u00E9 \u00E0 Posqui\u00E8res, dans le dernier tiers du XIIe si\u00E8cle et disparu vers le milieu du XIIIe si\u00E8cle. Il est le petit-fils du rabbin Abraham ben David, et le neveu d'Isaac l'Aveugle, \u00E0 qui il succ\u00E8de \u00E0 la t\u00EAte de l'\u00E9cole kabbalistique de Posqui\u00E8res (Gard). Son ouvrage principal, le Livre de l'Unit\u00E9, est le premier trait\u00E9 kabbalistique qui nous soit parvenu complet. C'est \u00E9galement le premier livre de mysique juive destin\u00E9 \u00E0 un large public. Long et d\u00E9taill\u00E9, l'ouvrage contient, en ouverture, le premier po\u00E8me d'inspiration kabbalistique. Un tr\u00E8s net penchant pour la philosophie n\u00E9o-platonicienne caract\u00E9rise cet auteur, selon Charles Mopsik."@fr . . . . "Acher ben David est un kabbaliste juif, n\u00E9 \u00E0 Posqui\u00E8res, dans le dernier tiers du XIIe si\u00E8cle et disparu vers le milieu du XIIIe si\u00E8cle. Il est le petit-fils du rabbin Abraham ben David, et le neveu d'Isaac l'Aveugle, \u00E0 qui il succ\u00E8de \u00E0 la t\u00EAte de l'\u00E9cole kabbalistique de Posqui\u00E8res (Gard). Son ouvrage principal, le Livre de l'Unit\u00E9, est le premier trait\u00E9 kabbalistique qui nous soit parvenu complet. C'est \u00E9galement le premier livre de mysique juive destin\u00E9 \u00E0 un large public. Long et d\u00E9taill\u00E9, l'ouvrage contient, en ouverture, le premier po\u00E8me d'inspiration kabbalistique. Un tr\u00E8s net penchant pour la philosophie n\u00E9o-platonicienne caract\u00E9rise cet auteur, selon Charles Mopsik. Gershom Sholem tient le rabbin Acher ben David pour le principal transmetteur des doctrines de la Kabbale aux \u00E9coles rabbiniques catalanes, en particulier \u00E0 l'\u00E9cole de G\u00E9rone, \u00E0 la fin du XIIe ou au d\u00E9but de XIIIe si\u00E8cle."@fr . . . . . . . . .