. . . "3776"^^ . "3155828"^^ . . . . . "\u0410\u044D\u0440\u043E\u043D\u043E\u043C\u0438\u044F"@ru . . "A\u00E9ronomie"@fr . "\u0410\u0435\u0440\u043E\u043D\u043E\u043C\u0456\u044F"@uk . . . . . . . . . "Aeronomia"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u8D85\u9AD8\u5C64\u5B66"@ja . . . . . . "L'a\u00E9ronomie est l'\u00E9tude des propri\u00E9t\u00E9s physiques et chimiques des parties de l'atmosph\u00E8re o\u00F9 les r\u00E9actions d'ionisation et de dissociation deviennent pr\u00E9dominantes par opposition \u00E0 l'a\u00E9rologie qui \u00E9tudie les portions de l'atmosph\u00E8re o\u00F9 les ph\u00E9nom\u00E8nes de turbulences ont une importance majeure. Par extension, l'a\u00E9ronomie couvre aussi l'\u00E9tude de l'atmosph\u00E8re des com\u00E8tes et des autres plan\u00E8tes. L'a\u00E9ronomie est une science multidisciplinaire consid\u00E9r\u00E9e une sous-discipline de la physique atmosph\u00E9rique, utilisant principalement les outils de la physique et de la chimie."@fr . . "160046754"^^ . . . . "Aeronom\u00EDa"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Aeronomia"@pl . . . . . . . . "L'a\u00E9ronomie est l'\u00E9tude des propri\u00E9t\u00E9s physiques et chimiques des parties de l'atmosph\u00E8re o\u00F9 les r\u00E9actions d'ionisation et de dissociation deviennent pr\u00E9dominantes par opposition \u00E0 l'a\u00E9rologie qui \u00E9tudie les portions de l'atmosph\u00E8re o\u00F9 les ph\u00E9nom\u00E8nes de turbulences ont une importance majeure. Par extension, l'a\u00E9ronomie couvre aussi l'\u00E9tude de l'atmosph\u00E8re des com\u00E8tes et des autres plan\u00E8tes. L'a\u00E9ronomie est une science multidisciplinaire consid\u00E9r\u00E9e une sous-discipline de la physique atmosph\u00E9rique, utilisant principalement les outils de la physique et de la chimie. L'a\u00E9ronomie partage avec l'a\u00E9rologie et la m\u00E9t\u00E9orologie l'\u00E9tude de la stratosph\u00E8re et de la m\u00E9sosph\u00E8re mais alors que la m\u00E9t\u00E9orologie met l'accent sur la dynamique atmosph\u00E9rique, l'a\u00E9ronomie met l'accent sur les ph\u00E9nom\u00E8nes physico-chimiques d'un milieu h\u00E9t\u00E9rog\u00E8ne o\u00F9 l'influence du rayonnement solaire est plus importante que dans la basse atmosph\u00E8re. La limite basse des \u00E9tudes d'a\u00E9ronomie sur Terre est la tropopause \u00E0 une altitude comprise entre 8 et 18 kilom\u00E8tres des p\u00F4les \u00E0 l'\u00E9quateur. Sydney Chapman invente ce terme en 1951 et il est adopt\u00E9 en 1954 lorsque l\u2019International Association of Terrestrial Magnetism and Electricity devient l\u2019International Association of Geomagnetism and Aeronomy. L'a\u00E9ronomie est toutefois plus ancienne et les premi\u00E8res \u00E9tudes dans ce champ de recherche datent du d\u00E9but du XXe si\u00E8cle. D\u00E8s 1939, Marcel Nicolet (1912-1996) invoquait la pr\u00E9sence de l'h\u00E9lium dans l'atmosph\u00E8re sup\u00E9rieure o\u00F9 \u00E9volueraient plus tard les satellites artificiels. Cette pr\u00E9diction lui valut le prix Daniel et Florence Guggenheim de l'Acad\u00E9mie Internationale d'astronautique en 1963. Il a ensuite fond\u00E9 l'Institut d'A\u00E9ronomie Spatiale de Belgique en 1964. Marcel Nicolet a aussi expliqu\u00E9 l'existence de la r\u00E9gion D de l'ionosph\u00E8re par l'ionisation de l'oxyde d'azote. Cette ionisation est due \u00E0 la raie d'\u00E9mission solaire Lyman-\u03B1 qui p\u00E9n\u00E8tre jusqu'\u00E0 la stratopause par une fen\u00EAtre optique de l'oxyg\u00E8ne mol\u00E9culaire."@fr . . . "Aeronomia"@pt . . . . . .