. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0634\u062A\u064A\u0641\u0627\u0646\u0627 \u06A4\u064A\u0644\u064A\u0633\u0627\u0631 \u062A\u064A\u0648\u062F\u0648\u0631\u064A\u0627\u0646\u0648"@arz . . . . . "\u0218tefana Velisar Teodoreanu"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0218tefana Velisar Teodoreanu (n\u00E9e Maria \u0218tefana Lupa\u0219cu, \u00E9galement cr\u00E9dit\u00E9 comme \u0218tefania Velisar ou Lily Teodoreanu ; 17 octobre 1897 \u2013 30 ou 31 mai 1995) \u00E9tait une romanci\u00E8re, po\u00E8te et traductrice roumaine, \u00E9pouse de l'\u00E9crivain Ionel Teodoreanu. Encourag\u00E9e \u00E0 \u00E9crire par son mari, elle est une fine repr\u00E9sentante du mouvement traditionaliste Poporaniste, qu'infuse avec des th\u00E8mes moraux de l'Orthodoxie roumaine, et des \u00E9chos de litt\u00E9rature moderniste. Ses \u0153uvres de jeunesse, qui co\u00EFncident avec la Seconde Guerre mondiale se composent principalement de romans centr\u00E9s sur les conflits internes et la triomphe de la morale des provinciales comme elle. Formant un contrepoint aux livres de son \u00E9poux, ils sont tr\u00E8s appr\u00E9ci\u00E9s \u00E0 leur \u00E9poque mais seront plus tard critiqu\u00E9s pour \u00EAtre idyllique et didact"@fr . . . "\u0421\u0442\u0435\u0444\u0430\u043D\u0430 \u0412\u0435\u043B\u0456\u0437\u0430\u0440 \u0422\u0435\u043E\u0434\u043E\u0440\u044F\u043D\u0443"@uk . . . . . . . "24686"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "186400165"^^ . . . . . . "11858707"^^ . . . . . . . . . . . "\u0422\u0435\u043E\u0434\u043E\u0440\u044F\u043D\u0443, \u0421\u0442\u0435\u0444\u0430\u043D\u0430 \u0412\u0435\u043B\u0438\u0437\u0430\u0440"@ru . . . . . "\u0218tefana Velisar Teodoreanu"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1897-10-17"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0218tefana Velisar Teodoreanu (n\u00E9e Maria \u0218tefana Lupa\u0219cu, \u00E9galement cr\u00E9dit\u00E9 comme \u0218tefania Velisar ou Lily Teodoreanu ; 17 octobre 1897 \u2013 30 ou 31 mai 1995) \u00E9tait une romanci\u00E8re, po\u00E8te et traductrice roumaine, \u00E9pouse de l'\u00E9crivain Ionel Teodoreanu. Encourag\u00E9e \u00E0 \u00E9crire par son mari, elle est une fine repr\u00E9sentante du mouvement traditionaliste Poporaniste, qu'infuse avec des th\u00E8mes moraux de l'Orthodoxie roumaine, et des \u00E9chos de litt\u00E9rature moderniste. Ses \u0153uvres de jeunesse, qui co\u00EFncident avec la Seconde Guerre mondiale se composent principalement de romans centr\u00E9s sur les conflits internes et la triomphe de la morale des provinciales comme elle. Formant un contrepoint aux livres de son \u00E9poux, ils sont tr\u00E8s appr\u00E9ci\u00E9s \u00E0 leur \u00E9poque mais seront plus tard critiqu\u00E9s pour \u00EAtre idyllique et didactique. Anti-communiste comme son mari, Velisar aide des \u00E9crivains et des personnalit\u00E9s politiques pers\u00E9cut\u00E9s par le r\u00E9gime communiste. Elle continue \u00E0 publier, principalement des traductions collaboratives jusqu'\u00E0 la fin des ann\u00E9es 1960, et lui vaut des \u00E9loges pour ses interpr\u00E9tations de la litt\u00E9rature russe classique. Pendant le m\u00EAme intervalle, elle devient veuve, au moment o\u00F9 sa famille est mise sous pression par le pouvoir communiste ; son beau-fr\u00E8re P\u0103storel a \u00E9t\u00E9 emprisonn\u00E9, tout comme son ami Dinu Pillat, tandis que d'autres personnes dans son cercle de connaissances fuient la Roumanie. De nouveau bien vu par le pouvoir \u00E0 la fin des ann\u00E9es 1960, Velisar se retire au Monast\u00E8re de V\u0103ratec. Ses derniers travaux comprennent un livre de m\u00E9moires sur ses ann\u00E9es avec Teodoreanu, ainsi que des lettres qu'elle a envoy\u00E9es \u00E0 la famille Pillat, collect\u00E9 en un livre en 2010."@fr . . . .