. . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u00C9quation diff\u00E9rentielle ordinaire"@fr . . . . . "En math\u00E9matiques, une \u00E9quation diff\u00E9rentielle ordinaire (parfois simplement appel\u00E9e \u00E9quation diff\u00E9rentielle et abr\u00E9g\u00E9e en EDO) est une \u00E9quation diff\u00E9rentielle dont la ou les fonctions inconnues ne d\u00E9pendent que d'une seule variable; elle se pr\u00E9sente sous la forme d'une relation entre ces fonctions inconnues et leurs d\u00E9riv\u00E9es successives. , \u00E9quation d'ordre 1 o\u00F9 X est la fonction inconnue, et t sa variable."@fr . "3472"^^ . . . . . . . "Ordin\u00E4r differentialekvation"@sv . . . "34238"^^ . . . . . . "\u5E38\u5FAE\u5206\u65B9\u7A0B"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Edward Lindsay Ince"@fr . . . "Ph\u01B0\u01A1ng tr\u00ECnh vi ph\u00E2n th\u01B0\u1EDDng"@vi . . . . . "\u00E9quation diff\u00E9rentielle"@fr . . . "\u0417\u0432\u0438\u0447\u0430\u0439\u043D\u0456 \u0434\u0438\u0444\u0435\u0440\u0435\u043D\u0446\u0456\u0430\u043B\u044C\u043D\u0456 \u0440\u0456\u0432\u043D\u044F\u043D\u043D\u044F"@uk . . . . . . . . . . . . . . . . . . "R\u00F3wnanie r\u00F3\u017Cniczkowe zwyczajne"@pl . . . . . . . . . . . . . "\u00C9quation diff\u00E9rentielle"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190276161"^^ . . . . . . . . . "Ecuaci\u00F3n diferencial ordinaria"@es . . . . . . . . . . "En math\u00E9matiques, une \u00E9quation diff\u00E9rentielle ordinaire (parfois simplement appel\u00E9e \u00E9quation diff\u00E9rentielle et abr\u00E9g\u00E9e en EDO) est une \u00E9quation diff\u00E9rentielle dont la ou les fonctions inconnues ne d\u00E9pendent que d'une seule variable; elle se pr\u00E9sente sous la forme d'une relation entre ces fonctions inconnues et leurs d\u00E9riv\u00E9es successives. Le terme ordinaire est utilis\u00E9 par opposition au terme \u00E9quation diff\u00E9rentielle partielle (plus commun\u00E9ment \u00E9quation aux d\u00E9riv\u00E9es partielles, ou EDP) o\u00F9 la ou les fonctions inconnues peuvent d\u00E9pendre de plusieurs variables. Dans la suite de l'article, le terme \u00E9quation diff\u00E9rentielle est utilis\u00E9 pour signifier \u00E9quation diff\u00E9rentielle ordinaire. L'ordre d'une \u00E9quation diff\u00E9rentielle correspond au degr\u00E9 maximal de d\u00E9rivation auquel l'une des fonctions inconnues a \u00E9t\u00E9 soumise. Il existe une forme de r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 laquelle on essaie de ramener les \u00E9quations diff\u00E9rentielles ordinaires par divers proc\u00E9d\u00E9s math\u00E9matiques : , \u00E9quation d'ordre 1 o\u00F9 X est la fonction inconnue, et t sa variable. Les \u00E9quations diff\u00E9rentielles repr\u00E9sentent un objet d'\u00E9tude de toute premi\u00E8re importance, aussi bien en math\u00E9matiques pures qu'en math\u00E9matiques appliqu\u00E9es.Elles sont utilis\u00E9es pour construire des mod\u00E8les math\u00E9matiques de processus d'\u00E9volution physiques et biologiques, par exemple pour l'\u00E9tude de la radioactivit\u00E9, la m\u00E9canique c\u00E9leste ou la dynamique des populations... La variable t repr\u00E9sente alors souvent le temps, m\u00EAme si d'autres choix de mod\u00E9lisation sont possibles. Les objectifs principaux de la th\u00E9orie des \u00E9quations ordinaires sont la r\u00E9solution explicite compl\u00E8te quand elle est possible, la r\u00E9solution approch\u00E9e par des proc\u00E9d\u00E9s d'analyse num\u00E9rique, ou encore l'\u00E9tude qualitative des solutions. Ce dernier domaine s'est progressivement \u00E9toff\u00E9, et constitue l'un des composants principaux d'une vaste branche des math\u00E9matiques contemporaines : l'\u00E9tude des syst\u00E8mes dynamiques."@fr . "Equa\u00E7\u00E3o diferencial ordin\u00E1ria"@pt . . . . .