. . . . . . . . . . . "10936519"^^ . . . "L'\u00E9quation de Kelvin est bas\u00E9e sur la formule de la pression de Laplace et s'applique \u00E0 un fluide en \u00E9quilibre avec sa vapeur. Si on suppose que l'interface liquide-vapeur a un rayon de courbure moyen , elle permet de relier la pression de vapeur avec ce rayon de courbure : dans laquelle est la pression de vapeur saturante, est la tension de surface, est le volume molaire du liquide, est la Constante universelle des gaz parfaits et est la temp\u00E9rature. \n* Si l'interface est convexe : ; \n* Si l'interface est concave : ."@fr . . . "155767641"^^ . . . "6426"^^ . . . . . "L'\u00E9quation de Kelvin est bas\u00E9e sur la formule de la pression de Laplace et s'applique \u00E0 un fluide en \u00E9quilibre avec sa vapeur. Si on suppose que l'interface liquide-vapeur a un rayon de courbure moyen , elle permet de relier la pression de vapeur avec ce rayon de courbure : dans laquelle est la pression de vapeur saturante, est la tension de surface, est le volume molaire du liquide, est la Constante universelle des gaz parfaits et est la temp\u00E9rature. Il faut faire attention \u00E0 la convention utilis\u00E9e pour d\u00E9finir le rayon de courbure : on suppose dans cette \u00E9quation que si la surface est convexe (observ\u00E9e depuis la phase gazeuse), est positif. Si la surface est concave, est n\u00E9gatif. Nous concluons donc que : \n* Si l'interface est convexe : ; \n* Si l'interface est concave : . Avec une convention diff\u00E9rente, certains auteurs pr\u00E9sentent cette \u00E9quation avec un signe n\u00E9gatif . Cette \u00E9quation permet de pr\u00E9voir la condensation capillaire dans la porosit\u00E9 d'un solide en fonction de la taille des pores. Pour une pression donn\u00E9e, est donc le rayon de pore le plus grand dans lequel la condensation capillaire peut se produire, on appelle cette limite rayon de Kelvin. On peut ainsi calculer l'adsorption d'humidit\u00E9 dans un mat\u00E9riau alv\u00E9olaire en fonction de l'hygrom\u00E9trie de l'air, ou la condensation d'un hydrocarbure dans un adsorbant poreux. L'\u00E9quation de Kelvin est aussi utilis\u00E9e pour la d\u00E9termination de la taille des pores \u00E0 partir de la mesure d'un isotherme d'adsorption par la m\u00E9thode BJH (m\u00E9thode de Barrett, Joyner et Halenda )."@fr . "\u5F00\u5C14\u6587\u65B9\u7A0B"@zh . . . . "\u00C9quation de Kelvin"@fr . . . . . . "Ecuaci\u00F3n de Kelvin"@es . . . . . . . . . . . . .