. "20"^^ . . . "Escrita maia"@pt . . . . "Breaking the Maya Code"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190774849"^^ . "36"^^ . "Reading the Maya Glyphs"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Arch\u00E9ologie"@fr . . . . . . . . "Escritura maia"@oc . . . . . . . "Scrittura maya"@it . . . . "Nikolai"@fr . . . . . "\u041F\u0438\u0441\u0435\u043C\u043D\u0456\u0441\u0442\u044C \u043C\u0430\u044F"@uk . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Davoust"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "49738"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "0"^^ . . . "2"^^ . . . . . . "70"^^ . . . . . "Maya script"@en . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . "L'\u00E9criture maya et son d\u00E9chiffrement"@fr . . "176"^^ . . "es"@fr . "Marc"@fr . "2000"^^ . "2001"^^ . "2006"^^ . . "2004"^^ . . . . . . . "1987"^^ . . . . . . . "77039676"^^ . "1995"^^ . . . . "1993"^^ . . . "1997"^^ . . . . . . . . "Grube"@fr . "225"^^ . . . "Paris"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Escritura maya"@fr . . . . . "Baudez"@fr . . "6"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "230769889"^^ . . . . . "Coe"@fr . . . . . "\u00C9criture maya"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "300975564"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Robert J."@fr . "Van Stone"@fr . . . . . . . . . . . . "L'\u00E9criture maya est un syst\u00E8me d'\u00E9criture logosyllabique, c'est-\u00E0-dire \u00E0 la fois logographique (un symbole \u2014 graph\u00E8me \u2014 correspond \u00E0 une notion \u2014 lemme) et syllabographique (un graph\u00E8me correspond au son d'une syllabe), servant \u00E0 retranscrire l'ensemble des langues mayas. L'\u00E9criture \u00E9tait l'apanage d'une caste de scribes \u00AB Ah Tz'iib \u00BB faisant partie de la haute soci\u00E9t\u00E9. Seules deux autres castes dirigeantes y avaient acc\u00E8s : les pr\u00EAtres et les chefs. Elle \u00E9tait inaccessible au reste de la population."@fr . . . "Ayala Falc\u00F3n"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "304"^^ . . "Maya"@fr . . "467427"^^ . . . . . . "\u00C9criture maya"@fr . . . "K\u00F6nemanm"@fr . . . . . . "\u041F\u0438\u0441\u044C\u043C\u043E \u043C\u0430\u0439\u044F"@ru . . . . . . . "L'art maya et sa calligraphie"@fr . . . . . . "Claude-Fran\u00E7ois"@fr . . "Les Mayas"@fr . . . . "Michel"@fr . "Art et civilisation"@fr . . . "2"^^ . . . . . . "\u746A\u96C5\u6587\u5B57"@zh . . . "The Ancient Maya"@fr . "\u2014"@fr . "Glyphes mayas en stuc ."@fr . . . . "Michael D."@fr . . . . . "Glif maia"@ca . . . . . "Maricela"@fr . . "fr"@fr . "Thames& Hudson"@fr . "Logo-syllabique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sharer"@fr . . . . . . . . . "L'\u00E9criture maya est un syst\u00E8me d'\u00E9criture logosyllabique, c'est-\u00E0-dire \u00E0 la fois logographique (un symbole \u2014 graph\u00E8me \u2014 correspond \u00E0 une notion \u2014 lemme) et syllabographique (un graph\u00E8me correspond au son d'une syllabe), servant \u00E0 retranscrire l'ensemble des langues mayas. L'\u00E9criture \u00E9tait l'apanage d'une caste de scribes \u00AB Ah Tz'iib \u00BB faisant partie de la haute soci\u00E9t\u00E9. Seules deux autres castes dirigeantes y avaient acc\u00E8s : les pr\u00EAtres et les chefs. Elle \u00E9tait inaccessible au reste de la population. La singularit\u00E9 de cette \u00E9criture s'appuyant sur deux modes de retranscription distincts jamais m\u00E9lang\u00E9s dans les autres \u00E9critures mondiales, a consid\u00E9rablement retard\u00E9 son d\u00E9chiffrement. Les caract\u00E8res ou glyphes correspondant \u00E0 des notions d\u00E9crivent le plus souvent des \u00E9l\u00E9ments qui \u00E9taient universellement partag\u00E9s par les Mayas comme : les mois du calendrier annuel (Haab), ou les jours du calendrier rituel (Tzolkin), ou les astres, ou les villes, ou les \u00C9tats, ou les dieux ou des animaux ou des plantes. Les autres glyphes correspondaient \u00E0 des syllabes (par exemple : ba, be, bi, bo, bu). Mais eux-m\u00EAmes pouvaient exister sous trois formes distinctes. Une forme relativement carr\u00E9e et centrale, ou une repr\u00E9sentation en bandeau vertical ou horizontal selon que la syllabe est un pr\u00E9fixe ou un suffixe du glyphe central. Une m\u00EAme information pouvait donc \u00EAtre repr\u00E9sent\u00E9e de multiples fa\u00E7ons en combinant id\u00E9ogrammes et syllabogrammes. Cela offrait aux scribes une grande libert\u00E9 de composition, ce qui \u00E9rigeait l'\u00E9criture au rang d'art et les meilleurs scribes au statut d'artistes. Cette libert\u00E9 apparente \u00E9tait probablement surveill\u00E9e par les autorit\u00E9s religieuses et conditionn\u00E9e par le commanditaire et les destinataires de l'\u00E9crit. Les langues mayas comme le yucat\u00E8que, le k'iche' ou le chol sont aussi \u00E9loign\u00E9es les unes des autres que le sont des langues indo-europ\u00E9ennes comme l'allemand, le fran\u00E7ais et le russe. Au sein d'un public partageant le m\u00EAme maya, le scribe pouvait recourir \u00E0 l'utilisation d'une \u00E9criture plus syllabique. Quand on voulait s'adresser \u00E0 l'ensemble du monde maya le scribe \u00E9tait oblig\u00E9 de recourir \u00E0 une \u00E9criture plus id\u00E9ographique pour \u00EAtre compris. Il est aussi probable qu'une \u00AB faute d'orthographe ou de grammaire \u00BB sur une st\u00E8le comm\u00E9morative devait se payer tr\u00E8s cher pour le fautif car elle \u00E9tait quasi irr\u00E9parable.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] L'histoire des Mayas a plus de 5 000 ans et le buisson de langues qui en est issu s'\u00E9tale sur un spectre encore plus large que celui des langues europ\u00E9ennes s'inscrivant dans une tradition gr\u00E9co-latine."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30DE\u30E4\u6587\u5B57"@ja . . . . . . . . "novembre-d\u00E9cembre"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .