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Beya (alchimie)
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En alchimie, beya dénommait une eau mercurielle, c'est-à-dire « la dissolution de mercure par l'esprit de nitre (acide nitrique), affoiblie par l'addition d'une certaine quantité d'eau distillée ». Ce nom provient du nom d'une jeune femme dans la Vision d'Arislée, ou Vision d'Arisleus, texte en annexe de la Turba philosophorum, un des premiers et des plus connus traités d'alchimie de l'Occident médiéval. Si on en connaît une version latine du XIIIe siècle et une française du XVe siècle, il s'agit probablement de traductions d'un original en castillan du XIIe siècle, peut-être écrit par Robert de Chester. Dans la Vision d'Arislée, elle est la fille du roi de la mer, unie à son frère Gabertin, qui en meurt et ressuscite. Cette union est souvent reprise dans l'imagerie alchimique pour symboli
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beya
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beya
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En alchimie, beya dénommait une eau mercurielle, c'est-à-dire « la dissolution de mercure par l'esprit de nitre (acide nitrique), affoiblie par l'addition d'une certaine quantité d'eau distillée ». Ce nom provient du nom d'une jeune femme dans la Vision d'Arislée, ou Vision d'Arisleus, texte en annexe de la Turba philosophorum, un des premiers et des plus connus traités d'alchimie de l'Occident médiéval. Si on en connaît une version latine du XIIIe siècle et une française du XVe siècle, il s'agit probablement de traductions d'un original en castillan du XIIe siècle, peut-être écrit par Robert de Chester. Dans la Vision d'Arislée, elle est la fille du roi de la mer, unie à son frère Gabertin, qui en meurt et ressuscite. Cette union est souvent reprise dans l'imagerie alchimique pour symboliser l'union du soufre et du mercure.