| Property |
Value |
| dbo:abstract
|
- L’Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (UICALO) est l'une des deux formations initiées par les organisations missionnaires en Nouvelle-Calédonie pour canaliser les revendications des populations mélanésiennes après l'abolition du code de l'indigénat et la reconnaissance comme citoyens de tous les ressortissants des territoires d'outre-mer (loi Lamine Guèye du 7 mai 1946), obtenir une meilleure représentation de leur part dans le monde social, économique et politique puis de combattre l'influence grandissante des thèses communistes dans les tribus. D'association supervisée par le vicariat apostolique catholique de Nouméa, l'UICALO évolue bientôt en mouvement politique, soutenant la candidature de Maurice Lenormand aux élections législatives de 1951 et contribuant à fonder avec ce dernier et son pendant protestant l'Association des indigènes calédoniens et loyaltiens français, le parti Union calédonienne en 1953. Jamais véritablement dissoute, elle reste pendant de longues années un groupe de pression influent en son sein mais touché par de nombreuses dissidences qui finit par tomber progressivement en sommeil avec le retrait progressif de Rock Pidjot du devant de la scène politique dans les années 1980. (fr)
- L’Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (UICALO) est l'une des deux formations initiées par les organisations missionnaires en Nouvelle-Calédonie pour canaliser les revendications des populations mélanésiennes après l'abolition du code de l'indigénat et la reconnaissance comme citoyens de tous les ressortissants des territoires d'outre-mer (loi Lamine Guèye du 7 mai 1946), obtenir une meilleure représentation de leur part dans le monde social, économique et politique puis de combattre l'influence grandissante des thèses communistes dans les tribus. D'association supervisée par le vicariat apostolique catholique de Nouméa, l'UICALO évolue bientôt en mouvement politique, soutenant la candidature de Maurice Lenormand aux élections législatives de 1951 et contribuant à fonder avec ce dernier et son pendant protestant l'Association des indigènes calédoniens et loyaltiens français, le parti Union calédonienne en 1953. Jamais véritablement dissoute, elle reste pendant de longues années un groupe de pression influent en son sein mais touché par de nombreuses dissidences qui finit par tomber progressivement en sommeil avec le retrait progressif de Rock Pidjot du devant de la scène politique dans les années 1980. (fr)
|
| dbo:creationYear
| |
| dbo:ideology
| |
| dbo:leader
| |
| dbo:wikiPageExternalLink
| |
| dbo:wikiPageID
| |
| dbo:wikiPageLength
|
- 14059 (xsd:nonNegativeInteger)
|
| dbo:wikiPageRevisionID
| |
| dbo:wikiPageWikiLink
| |
| prop-fr:chef
| |
| prop-fr:dénominationChef
|
- Ancien président (fr)
- Ancien président (fr)
|
| prop-fr:fondation
| |
| prop-fr:idéologie
| |
| prop-fr:nom
|
- (fr)
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
- (fr)
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
|
| prop-fr:wikiPageUsesTemplate
| |
| dct:subject
| |
| rdf:type
| |
| rdfs:comment
|
- L’Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (UICALO) est l'une des deux formations initiées par les organisations missionnaires en Nouvelle-Calédonie pour canaliser les revendications des populations mélanésiennes après l'abolition du code de l'indigénat et la reconnaissance comme citoyens de tous les ressortissants des territoires d'outre-mer (loi Lamine Guèye du 7 mai 1946), obtenir une meilleure représentation de leur part dans le monde social, économique et politique puis de combattre l'influence grandissante des thèses communistes dans les tribus. D'association supervisée par le vicariat apostolique catholique de Nouméa, l'UICALO évolue bientôt en mouvement politique, soutenant la candidature de Maurice Lenormand aux élections législatives de 1951 et contribuant (fr)
- L’Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (UICALO) est l'une des deux formations initiées par les organisations missionnaires en Nouvelle-Calédonie pour canaliser les revendications des populations mélanésiennes après l'abolition du code de l'indigénat et la reconnaissance comme citoyens de tous les ressortissants des territoires d'outre-mer (loi Lamine Guèye du 7 mai 1946), obtenir une meilleure représentation de leur part dans le monde social, économique et politique puis de combattre l'influence grandissante des thèses communistes dans les tribus. D'association supervisée par le vicariat apostolique catholique de Nouméa, l'UICALO évolue bientôt en mouvement politique, soutenant la candidature de Maurice Lenormand aux élections législatives de 1951 et contribuant (fr)
|
| rdfs:label
|
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
|
| owl:sameAs
| |
| prov:wasDerivedFrom
| |
| foaf:isPrimaryTopicOf
| |
| foaf:name
|
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
- (UICALO) (fr)
- Union des indigènes calédoniens amis de la liberté dans l'ordre (fr)
- (UICALO) (fr)
|
| is dbo:wikiPageWikiLink
of | |
| is oa:hasTarget
of | |
| is foaf:primaryTopic
of | |
