La tuerie d'Auriol est l'assassinat de six personnes dans la nuit du 18 au 19 juillet 1981 à Auriol (Bouches-du-Rhône) dans la bastide familiale de Jacques Massié, chef de la section locale du Service d'action civique (SAC) à Marseille. Ce dernier était en effet soupçonné par son adjoint au SAC de vouloir les trahir en remettant à des mouvements de gauche les dossiers locaux de l'organisation privée de maintien de l'ordre à des fins politiques. Ce crime, qui émeut la France, devient une affaire d'État. À la demande du président Mitterrand, le gouvernement dissout le SAC le 3 août 1982.

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  • La tuerie d'Auriol est l'assassinat de six personnes dans la nuit du 18 au 19 juillet 1981 à Auriol (Bouches-du-Rhône) dans la bastide familiale de Jacques Massié, chef de la section locale du Service d'action civique (SAC) à Marseille. Ce dernier était en effet soupçonné par son adjoint au SAC de vouloir les trahir en remettant à des mouvements de gauche les dossiers locaux de l'organisation privée de maintien de l'ordre à des fins politiques. La famille de Massié — son épouse, son fils âgé de 7 ans, ses beaux-parents et son futur beau-frère — est assassinée à son domicile, puis c’est Massié lui-même qui est également tué à son retour. Des investigations journalistiques approfondies font apparaitre la piste de bien d'autres victimes l'année précédente, mais celles-ci ne déboucheront pas et resteront pour la justice des affaires non élucidées. Ce crime, qui émeut la France, devient une affaire d'État. À la demande du président Mitterrand, le gouvernement dissout le SAC le 3 août 1982. Les assises des Bouches-du-Rhône ont jugé, en mai 1985 les six accusés dont trois ont été condamnés à la réclusion à perpétuité, deux à vingt ans de prison et un autre à quinze ans. (fr)
  • La tuerie d'Auriol est l'assassinat de six personnes dans la nuit du 18 au 19 juillet 1981 à Auriol (Bouches-du-Rhône) dans la bastide familiale de Jacques Massié, chef de la section locale du Service d'action civique (SAC) à Marseille. Ce dernier était en effet soupçonné par son adjoint au SAC de vouloir les trahir en remettant à des mouvements de gauche les dossiers locaux de l'organisation privée de maintien de l'ordre à des fins politiques. La famille de Massié — son épouse, son fils âgé de 7 ans, ses beaux-parents et son futur beau-frère — est assassinée à son domicile, puis c’est Massié lui-même qui est également tué à son retour. Des investigations journalistiques approfondies font apparaitre la piste de bien d'autres victimes l'année précédente, mais celles-ci ne déboucheront pas et resteront pour la justice des affaires non élucidées. Ce crime, qui émeut la France, devient une affaire d'État. À la demande du président Mitterrand, le gouvernement dissout le SAC le 3 août 1982. Les assises des Bouches-du-Rhône ont jugé, en mai 1985 les six accusés dont trois ont été condamnés à la réclusion à perpétuité, deux à vingt ans de prison et un autre à quinze ans. (fr)
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  • La tuerie d'Auriol : massacre chez les barbouzards (fr)
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  • La tuerie d'Auriol est l'assassinat de six personnes dans la nuit du 18 au 19 juillet 1981 à Auriol (Bouches-du-Rhône) dans la bastide familiale de Jacques Massié, chef de la section locale du Service d'action civique (SAC) à Marseille. Ce dernier était en effet soupçonné par son adjoint au SAC de vouloir les trahir en remettant à des mouvements de gauche les dossiers locaux de l'organisation privée de maintien de l'ordre à des fins politiques. Ce crime, qui émeut la France, devient une affaire d'État. À la demande du président Mitterrand, le gouvernement dissout le SAC le 3 août 1982. (fr)
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  • Tuerie d'Auriol (fr)
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