Alan Stivell a toujours alterné ses prestations entre Bretagne, France, Europe et à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones.

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  • Alan Stivell a toujours alterné ses prestations entre Bretagne, France, Europe et à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones. Dès 1966, il chante à l'étranger et, invité par les Moody Blues, il se produit en juin 1968 au Queen Elizabeth Hall de Londres. Dès 1973, après une tournée française sous de grands chapiteaux, il part à la « conquête » des pays anglophones et de l'Europe : Allemagne, Scandinavie, Italie, Espagne… Connu dans le monde anglo-saxon en tant que « celtic harpist », il a effectué de nombreuses tournées en Amérique du Nord et deux grandes tournées en Australie : la première en 1977 (la plus importante pour un artiste de citoyenneté française), la seconde en 1981. Avec des spectacles toujours renouvelés, il s'est produit sur tous les continents et dans les plus grandes salles, en particulier en Italie (tournée 1980 des stades et des parcs). Ces tournées à l'étranger, rendues possible par le réinvestissement de la quasi-totalité de ses gains, ont plusieurs buts pour la Bretagne selon l'artiste : que les Bretons prennent conscience de la valeur originale de leur culture, qui peut être appréciée dans tous les pays, que sa reconnaissance suscite l'intérêt et qu'elle marque un début de liberté afin que l'ouverture au monde permette « un début de décolonisation », une « conquête pacifique », une communication « de pays à pays, de peuple à peuple, sans passer par Paris » : « Lorsque la musique bretonne sera connue sous toutes les latitudes, la Bretagne sera sauvée : elle ne pourra plus disparaître parce que le monde entier lui apportera son soutien après avoir pris conscience de notre problème. ». (fr)
  • Alan Stivell a toujours alterné ses prestations entre Bretagne, France, Europe et à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones. Dès 1966, il chante à l'étranger et, invité par les Moody Blues, il se produit en juin 1968 au Queen Elizabeth Hall de Londres. Dès 1973, après une tournée française sous de grands chapiteaux, il part à la « conquête » des pays anglophones et de l'Europe : Allemagne, Scandinavie, Italie, Espagne… Connu dans le monde anglo-saxon en tant que « celtic harpist », il a effectué de nombreuses tournées en Amérique du Nord et deux grandes tournées en Australie : la première en 1977 (la plus importante pour un artiste de citoyenneté française), la seconde en 1981. Avec des spectacles toujours renouvelés, il s'est produit sur tous les continents et dans les plus grandes salles, en particulier en Italie (tournée 1980 des stades et des parcs). Ces tournées à l'étranger, rendues possible par le réinvestissement de la quasi-totalité de ses gains, ont plusieurs buts pour la Bretagne selon l'artiste : que les Bretons prennent conscience de la valeur originale de leur culture, qui peut être appréciée dans tous les pays, que sa reconnaissance suscite l'intérêt et qu'elle marque un début de liberté afin que l'ouverture au monde permette « un début de décolonisation », une « conquête pacifique », une communication « de pays à pays, de peuple à peuple, sans passer par Paris » : « Lorsque la musique bretonne sera connue sous toutes les latitudes, la Bretagne sera sauvée : elle ne pourra plus disparaître parce que le monde entier lui apportera son soutien après avoir pris conscience de notre problème. ». (fr)
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  • Extérieur du bâtiment (fr)
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  • À Paris se tenaient tous les ans la Saint-Yves aux Arènes de Lutèce et le spectacle Musicorama à l'Olympia. (fr)
  • Le bâtiment historique de l'American Center et le Queen Elizabeth Hall . (fr)
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  • Queen Elizabeth Hall and Purcell Room - geograph.org.uk - 1269974.jpg (fr)
  • American Center Paris.jpg (fr)
  • Arènes de Lutèce2.JPG (fr)
  • The lobby of L'Olympia in Paris.jpg (fr)
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  • Alan Stivell a toujours alterné ses prestations entre Bretagne, France, Europe et à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones. (fr)
  • Alan Stivell a toujours alterné ses prestations entre Bretagne, France, Europe et à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones. (fr)
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  • Tournées d'Alan Stivell (fr)
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