La succession d'Élisabeth Ire, sans enfant, était une question ouverte depuis son accession au trône en 1558 jusqu'à sa mort en 1603, lorsque la couronne passa à Jacques VI d'Écosse. Alors que l'accession de Jacques s'est bien déroulée, la succession avait fait l'objet de nombreux débats pendant des décennies. Il a également, dans certains points de vue savants, été un facteur politique majeur de tout le règne. Des aspects distincts ont acquis leur propre nomenclature : le « complot de Norfolk » et la « crise d'exclusion élisabéthaine » de Patrick Collinson.

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  • La succession d'Élisabeth Ire, sans enfant, était une question ouverte depuis son accession au trône en 1558 jusqu'à sa mort en 1603, lorsque la couronne passa à Jacques VI d'Écosse. Alors que l'accession de Jacques s'est bien déroulée, la succession avait fait l'objet de nombreux débats pendant des décennies. Il a également, dans certains points de vue savants, été un facteur politique majeur de tout le règne. Des aspects distincts ont acquis leur propre nomenclature : le « complot de Norfolk » et la « crise d'exclusion élisabéthaine » de Patrick Collinson. Les sujets de débat sont restés obscurcis par l'incertitude. Élisabeth Ire rechignait à établir l'ordre de succession sous quelque forme que ce soit, probablement parce qu'elle craignait pour sa propre vie une fois qu'un successeur aurait été nommé. Elle s'inquiétait également de la formation de relations productives entre l'Angleterre et l'Écosse, mais dont les bastions catholiques et presbytériennes étaient résistants au leadership féminin. Les femmes catholiques qui seraient soumises au Pape et non au droit constitutionnel anglais ont été rejetées. Le testament d'Henri VIII avait nommé un homme et sept femmes vivant à sa mort en 1547 comme ligne de succession : 1. * son fils Édouard VI, 2. * Marie Ire, 3. * Élisabeth Ire, 4. * Frances Brandon Gray, 5. * Jeanne Gray, 6. * Catherine Gray, 7. * Marie Gray, 8. * Eleanor Brandon Clifford, 9. * Margaret Clifford (fille de la dernière). La position juridique a été tenue par un certain nombre d'autorités pour s'articuler sur des questions telles que le statut De natis ultra mare d'Édouard III, et la volonté d'Henri VIII . Leur candidature a suscité des opinions différentes. Les questions politiques, religieuses et militaires prédominent plus tard sous le règne d'Élisabeth, dans le contexte de la guerre anglo-espagnole. (fr)
  • La succession d'Élisabeth Ire, sans enfant, était une question ouverte depuis son accession au trône en 1558 jusqu'à sa mort en 1603, lorsque la couronne passa à Jacques VI d'Écosse. Alors que l'accession de Jacques s'est bien déroulée, la succession avait fait l'objet de nombreux débats pendant des décennies. Il a également, dans certains points de vue savants, été un facteur politique majeur de tout le règne. Des aspects distincts ont acquis leur propre nomenclature : le « complot de Norfolk » et la « crise d'exclusion élisabéthaine » de Patrick Collinson. Les sujets de débat sont restés obscurcis par l'incertitude. Élisabeth Ire rechignait à établir l'ordre de succession sous quelque forme que ce soit, probablement parce qu'elle craignait pour sa propre vie une fois qu'un successeur aurait été nommé. Elle s'inquiétait également de la formation de relations productives entre l'Angleterre et l'Écosse, mais dont les bastions catholiques et presbytériennes étaient résistants au leadership féminin. Les femmes catholiques qui seraient soumises au Pape et non au droit constitutionnel anglais ont été rejetées. Le testament d'Henri VIII avait nommé un homme et sept femmes vivant à sa mort en 1547 comme ligne de succession : 1. * son fils Édouard VI, 2. * Marie Ire, 3. * Élisabeth Ire, 4. * Frances Brandon Gray, 5. * Jeanne Gray, 6. * Catherine Gray, 7. * Marie Gray, 8. * Eleanor Brandon Clifford, 9. * Margaret Clifford (fille de la dernière). La position juridique a été tenue par un certain nombre d'autorités pour s'articuler sur des questions telles que le statut De natis ultra mare d'Édouard III, et la volonté d'Henri VIII . Leur candidature a suscité des opinions différentes. Les questions politiques, religieuses et militaires prédominent plus tard sous le règne d'Élisabeth, dans le contexte de la guerre anglo-espagnole. (fr)
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  • La succession d'Élisabeth Ire, sans enfant, était une question ouverte depuis son accession au trône en 1558 jusqu'à sa mort en 1603, lorsque la couronne passa à Jacques VI d'Écosse. Alors que l'accession de Jacques s'est bien déroulée, la succession avait fait l'objet de nombreux débats pendant des décennies. Il a également, dans certains points de vue savants, été un facteur politique majeur de tout le règne. Des aspects distincts ont acquis leur propre nomenclature : le « complot de Norfolk » et la « crise d'exclusion élisabéthaine » de Patrick Collinson. (fr)
  • La succession d'Élisabeth Ire, sans enfant, était une question ouverte depuis son accession au trône en 1558 jusqu'à sa mort en 1603, lorsque la couronne passa à Jacques VI d'Écosse. Alors que l'accession de Jacques s'est bien déroulée, la succession avait fait l'objet de nombreux débats pendant des décennies. Il a également, dans certains points de vue savants, été un facteur politique majeur de tout le règne. Des aspects distincts ont acquis leur propre nomenclature : le « complot de Norfolk » et la « crise d'exclusion élisabéthaine » de Patrick Collinson. (fr)
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  • Succession d'Élisabeth Ire (fr)
  • Succession to Elizabeth I (en)
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