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- L’histoire de la Société française d’histoire des outre-mers ou SFHOM se décline autour de son fondateur, Alfred Martineau qui reste un membre actif jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Cette association fondée en 1912 s’est adaptée aux différentes réalités historiques : appelée en 1912 Société d’histoire des colonies françaises, elle devient la Société d’histoire des colonies en 1931, puis, en 1958, la Société française d’histoire d’outre-mer et, depuis 2013, s’appelle Société française d’histoire des outre-mers. Son champ d’étude est resté celui des outre-mers avec des acceptations variables et des méthodologies d’études sans cesse renouvelées. Elle existe toujours au début du xxie siècle, alors que, vingt ans après sa naissance, ses fondateurs s’étonnaient presque de la voir toujours en vie. La Revue porte le nom de la Société qui la publie, parfois avec des variantes. De 1913 à 1930, il s’agit de la Revue d’histoire des colonies françaises, de 1931 à 1958, de la Revue d’histoire des colonies, présentant une couverture, verte, ocre, puis plus ou moins bleue. En 1959, elle devient Revue française d’histoire d’outre-mer, avec un sous-titre de 1987 à 1998 : « Explorations, Colonisation, Indépendances », puis en 1999 : Outre-mers. Revue d’histoire. (fr)
- L’histoire de la Société française d’histoire des outre-mers ou SFHOM se décline autour de son fondateur, Alfred Martineau qui reste un membre actif jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Cette association fondée en 1912 s’est adaptée aux différentes réalités historiques : appelée en 1912 Société d’histoire des colonies françaises, elle devient la Société d’histoire des colonies en 1931, puis, en 1958, la Société française d’histoire d’outre-mer et, depuis 2013, s’appelle Société française d’histoire des outre-mers. Son champ d’étude est resté celui des outre-mers avec des acceptations variables et des méthodologies d’études sans cesse renouvelées. Elle existe toujours au début du xxie siècle, alors que, vingt ans après sa naissance, ses fondateurs s’étonnaient presque de la voir toujours en vie. La Revue porte le nom de la Société qui la publie, parfois avec des variantes. De 1913 à 1930, il s’agit de la Revue d’histoire des colonies françaises, de 1931 à 1958, de la Revue d’histoire des colonies, présentant une couverture, verte, ocre, puis plus ou moins bleue. En 1959, elle devient Revue française d’histoire d’outre-mer, avec un sous-titre de 1987 à 1998 : « Explorations, Colonisation, Indépendances », puis en 1999 : Outre-mers. Revue d’histoire. (fr)
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- L’histoire de la Société française d’histoire des outre-mers ou SFHOM se décline autour de son fondateur, Alfred Martineau qui reste un membre actif jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Cette association fondée en 1912 s’est adaptée aux différentes réalités historiques : appelée en 1912 Société d’histoire des colonies françaises, elle devient la Société d’histoire des colonies en 1931, puis, en 1958, la Société française d’histoire d’outre-mer et, depuis 2013, s’appelle Société française d’histoire des outre-mers. Son champ d’étude est resté celui des outre-mers avec des acceptations variables et des méthodologies d’études sans cesse renouvelées. Elle existe toujours au début du xxie siècle, alors que, vingt ans après sa naissance, ses fondateurs s’étonnaient presque de la voir (fr)
- L’histoire de la Société française d’histoire des outre-mers ou SFHOM se décline autour de son fondateur, Alfred Martineau qui reste un membre actif jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Cette association fondée en 1912 s’est adaptée aux différentes réalités historiques : appelée en 1912 Société d’histoire des colonies françaises, elle devient la Société d’histoire des colonies en 1931, puis, en 1958, la Société française d’histoire d’outre-mer et, depuis 2013, s’appelle Société française d’histoire des outre-mers. Son champ d’étude est resté celui des outre-mers avec des acceptations variables et des méthodologies d’études sans cesse renouvelées. Elle existe toujours au début du xxie siècle, alors que, vingt ans après sa naissance, ses fondateurs s’étonnaient presque de la voir (fr)
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