Les refuzniks (hébreu סרבנים (sarvanîm), de sarav : il a refusé) sont des objecteurs de conscience israéliens, qui refusent de servir dans Tsahal, l'armée d'Israël. Certains de ces soldats refusent notamment de servir dans les territoires palestiniens occupés. C'est un mouvement minoritaire, quoiqu'en développement, bien que l'objection de conscience soit interdite aux hommes en Israël et juste tolérée pour les femmes. La branche israélienne de l'Internationale des résistant(e)s à la guerre est créée en 1947, avant même la fondation de l’État. « Le courage de refuser.

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  • Les refuzniks (hébreu סרבנים (sarvanîm), de sarav : il a refusé) sont des objecteurs de conscience israéliens, qui refusent de servir dans Tsahal, l'armée d'Israël. Certains de ces soldats refusent notamment de servir dans les territoires palestiniens occupés. C'est un mouvement minoritaire, quoiqu'en développement, bien que l'objection de conscience soit interdite aux hommes en Israël et juste tolérée pour les femmes. La branche israélienne de l'Internationale des résistant(e)s à la guerre est créée en 1947, avant même la fondation de l’État. Le premier objecteur de conscience d'Israël, ayant refusé toute forme de collaboration avec l'armée susceptible de mener à des actions non pacifistes, est le violoniste (de). Il est jugé en 1948 et bénéficie d'un verdict plutôt clément. Shalom Zamir refuse de servir lors de la guerre de 1948. Il n'est jamais cité à comparaître. Dès les années 1950, il y a quelques réfractaires anticolonialistes qui s'opposent, par exemple, à l'intervention d'Israël lors de la crise du Canal de Suez en 1956. Le mouvement des « Refuzniks » naît en 1979 lorsqu'un groupe de vingt-sept lycéens écrit au ministre de la Défense qu'ils refusent de servir durant leur service militaire dans les territoires occupés en Palestine. L'un d'eux, Gadi Algazi est condamné à plusieurs reprises dont une fois à un an de prison. Leur refus conduit de nombreux refuzniks à la détention dans des prisons militaires mais le mouvement s'accentue et les refuzniks sont, en 2005, plus d'un millier. Au début de l'Intervention militaire israélienne au Liban de 1982, l'association Yesh Gvul est créée pour soutenir le refus de servir au Liban dans l'armée israélienne. Elle suscite une pétition signée par 3 000 réservistes dont certains sont condamnés à trente-cinq jours de détention selon une procédure expéditive ou comparaissent en Cour martiale. Des initiatives similaires ont lieu de la part de vingt-sept pilotes de l'armée de l'air qui refusent les « éliminations ciblées » et leurs victimes innocentes et de la part de treize soldats d'une unité d'élite. En 1986, le chef d'État-major, Moshé Lévi, déclare que ce mouvement a joué dans la décision de l'armée d'un retrait partiel du Liban. Les « refus gris », c'est à dire les refus totaux ou circonstanciels de servir tolérés par les autorités ou transformés en dispenses en échange de la discrétion des réfractaires sont estimés à quelques centaines pendant la guerre au Liban et passent à quelques milliers pendant la Première intifada. En 1998, le Collectif des mères, issu de la guerre au Liban, et Les Femmes pour la paix créent Nouveau Profil dont l’objectif est de démilitariser la société israélienne et qui soutient les objecteurs de conscience et préconise un service civil à vocation sociale et humanitaire. Nouveau Profil est membre de la Coalition des femmes pour la paix. Le 19 août 2001, soixante-deux lycéens signent une lettre adressée au Premier ministre Ariel Sharon : « Nous protestons devant vous contre la politique raciste et agressive que mènent le gouvernement israélien et son armée, et ce afin de vous informer que nous n'avons pas l'intention de participer à l'exécution de cette politique. Nous nous opposons fermement à ce qu’Israël piétine les droits de l'homme. Les expropriations, arrestations, exécutions sommaires, démolitions de maisons, l'enfermement, la torture et l'interdiction d'accès aux soins ne sont que quelques-uns des crimes commis par l'état d'Israël, en violation caractérisée des conventions internationales qu'il a ratifiées. […] Nous en appelons aux gens de notre âge, appelés, soldats de l'armée en service et réservistes à faire de même. » — Cité par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 62-63 À la fin de l'année 2001, au moins trois cents refuzniks ont refusé depuis le début de la Seconde intifada de se battre dans les territoires occupés. Parmi eux, Jonathan Ben Artzi, neveu du Premier ministre Benyamin Nethanyahou, comparaît devant le comité militaire chargé d'étudier la recevabilité de son objection de conscience. Le psychologue explique : « Puisque Jonathan argumente, c'est qu'il est agressif. Puisqu'il est agressif, il ne peut pas être pacifiste. » Le réfractaire est emprisonné à plusieurs reprises. Il écrit en accord avec ses parents : « Ma profonde croyance dans la non-violence a commencé quand j'étais un petit enfant et, année après année, elle s'est muée en philosophie politique. À cause de mes convictions, mon propre pays me condamne à la prison [...] » — Déclaration d'insoumission de Jonathan Ben Artzi citée par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 121 En 2002, 52 réservistes objecteurs de conscience israéliens n'acceptent plus de servir en Cisjordanie et à Gaza et signent le manifeste « Le courage de refuser » (Ometz LeSarev, hébreux : אומץ לסרב). Un an plus tard, ils sont 512. « Le courage de refuser. Nous, officiers et soldats réservistes membres d'unités combattantes des forces de Tsahal, élevés salon les principes du sionisme, du sacrifice et du dévouement pour le peuple d'Israël et à l'État d'Israël, nous qui avons toujours servi en première ligne, et qui avons toujours été les premiers à accomplir notre mission quelle qu'en soit la difficulté, afin de protéger et renforcer et renforcer l'État. […] Nous, qui avons ressenti à quel point les ordres qui nous ont été donnés dans les Territoires détruisent toutes les valeurs qui nous ont été inculquées alors que nous grandissions dans ce pays. […] Nous ne continuerons pas à combattre au-delà des frontières de 1967 afin de dominer, d’expulser, d’affamer et d’humilier un peuple tout entier. » — Cité par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 66-67 Le 14 avril 2002, la chanteuse à succès Yafa Yarkoni, surnommée « la chanteuse des guerres » en raison de ses tournées sur le front pendant les guerres israélo-arabes, surprend dans un entretien à la radio militaire Galatz en soutenant les officiers signataires du manifeste, si bien que son concert pour la fête de l'Indépendance est annulé. Pour le sergent Shammaï Leibowitz, philosophe, théologien et un des réservistes de Tsahal qui refusent de servir dans les Territoires palestiniens, le premier objecteur de conscience de l’Histoire fut le patriarche Abraham, qui a résisté à Dieu et l’a empêché de détruire Sodome et Gomorrhe par ce cri du cœur : « Détruiras-tu les justes parmi les pécheurs ? » (Genèse 18, 23). Abraham subordonna l’ordre divin à la morale et se révolta contre la punition collective. En 2003, vingt-sept pilotes de l’armée dénoncent dans une lettre ouverte les attaques « illégales et immorales que l’État d’Israël effectue dans les territoires palestiniens ». Le 4 janvier 2004, cinq objecteurs de conscience, qualifiés par le président du tribunal de « pires criminels » parce que « coupables d'un crime idéologique », sont condamnés à un an de prison. Le même jour, le lieutenant-colonel de réserve Eyran Ronel rend ses galons au chef d'état-major de l'armée. Il explique : « L'armée ne respecte plus les valeurs éthiques qui ont été les siennes. Des enfants tombent régulièrement sous nos balles dans les territoires palestiniens occupés, c'est à la fois illégal et immoral. » est le premier refuznik de la guerre au Liban démarrée en juillet 2006. Par une lettre envoyée en 2014 au premier ministre et au chef d'état-major, 43 officiers et soldats israéliens de réserve ayant servi dans l'unité 8200, la plus prestigieuse unité de renseignement militaire israélien, refusent de servir et de participer aux abus commis, selon eux, contre les Palestiniens. En 2020, soixante lycéens et lycéennes israéliens signent une lettre refusant leur conscription. Ils dénoncent l'occupation des territoires palestiniens. Seuls parmi les Arabes vivant en Israël, les hommes (et non les femmes) druzes sont astreints au service militaire. Parmi eux, il y a aussi des refuzniks. Des Israéliennes sont aussi objectrices de conscience et emprisonnées. Mais, refuznik peut aussi designer des soldats israéliens refusant de détruire des maisons palestiniennes. Ils se regroupent dans l' (en) (Comité israélien contre les démolitions de maisons). Leur mouvement est soutenu par Pax Christi. (fr)
  • Les refuzniks (hébreu סרבנים (sarvanîm), de sarav : il a refusé) sont des objecteurs de conscience israéliens, qui refusent de servir dans Tsahal, l'armée d'Israël. Certains de ces soldats refusent notamment de servir dans les territoires palestiniens occupés. C'est un mouvement minoritaire, quoiqu'en développement, bien que l'objection de conscience soit interdite aux hommes en Israël et juste tolérée pour les femmes. La branche israélienne de l'Internationale des résistant(e)s à la guerre est créée en 1947, avant même la fondation de l’État. Le premier objecteur de conscience d'Israël, ayant refusé toute forme de collaboration avec l'armée susceptible de mener à des actions non pacifistes, est le violoniste (de). Il est jugé en 1948 et bénéficie d'un verdict plutôt clément. Shalom Zamir refuse de servir lors de la guerre de 1948. Il n'est jamais cité à comparaître. Dès les années 1950, il y a quelques réfractaires anticolonialistes qui s'opposent, par exemple, à l'intervention d'Israël lors de la crise du Canal de Suez en 1956. Le mouvement des « Refuzniks » naît en 1979 lorsqu'un groupe de vingt-sept lycéens écrit au ministre de la Défense qu'ils refusent de servir durant leur service militaire dans les territoires occupés en Palestine. L'un d'eux, Gadi Algazi est condamné à plusieurs reprises dont une fois à un an de prison. Leur refus conduit de nombreux refuzniks à la détention dans des prisons militaires mais le mouvement s'accentue et les refuzniks sont, en 2005, plus d'un millier. Au début de l'Intervention militaire israélienne au Liban de 1982, l'association Yesh Gvul est créée pour soutenir le refus de servir au Liban dans l'armée israélienne. Elle suscite une pétition signée par 3 000 réservistes dont certains sont condamnés à trente-cinq jours de détention selon une procédure expéditive ou comparaissent en Cour martiale. Des initiatives similaires ont lieu de la part de vingt-sept pilotes de l'armée de l'air qui refusent les « éliminations ciblées » et leurs victimes innocentes et de la part de treize soldats d'une unité d'élite. En 1986, le chef d'État-major, Moshé Lévi, déclare que ce mouvement a joué dans la décision de l'armée d'un retrait partiel du Liban. Les « refus gris », c'est à dire les refus totaux ou circonstanciels de servir tolérés par les autorités ou transformés en dispenses en échange de la discrétion des réfractaires sont estimés à quelques centaines pendant la guerre au Liban et passent à quelques milliers pendant la Première intifada. En 1998, le Collectif des mères, issu de la guerre au Liban, et Les Femmes pour la paix créent Nouveau Profil dont l’objectif est de démilitariser la société israélienne et qui soutient les objecteurs de conscience et préconise un service civil à vocation sociale et humanitaire. Nouveau Profil est membre de la Coalition des femmes pour la paix. Le 19 août 2001, soixante-deux lycéens signent une lettre adressée au Premier ministre Ariel Sharon : « Nous protestons devant vous contre la politique raciste et agressive que mènent le gouvernement israélien et son armée, et ce afin de vous informer que nous n'avons pas l'intention de participer à l'exécution de cette politique. Nous nous opposons fermement à ce qu’Israël piétine les droits de l'homme. Les expropriations, arrestations, exécutions sommaires, démolitions de maisons, l'enfermement, la torture et l'interdiction d'accès aux soins ne sont que quelques-uns des crimes commis par l'état d'Israël, en violation caractérisée des conventions internationales qu'il a ratifiées. […] Nous en appelons aux gens de notre âge, appelés, soldats de l'armée en service et réservistes à faire de même. » — Cité par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 62-63 À la fin de l'année 2001, au moins trois cents refuzniks ont refusé depuis le début de la Seconde intifada de se battre dans les territoires occupés. Parmi eux, Jonathan Ben Artzi, neveu du Premier ministre Benyamin Nethanyahou, comparaît devant le comité militaire chargé d'étudier la recevabilité de son objection de conscience. Le psychologue explique : « Puisque Jonathan argumente, c'est qu'il est agressif. Puisqu'il est agressif, il ne peut pas être pacifiste. » Le réfractaire est emprisonné à plusieurs reprises. Il écrit en accord avec ses parents : « Ma profonde croyance dans la non-violence a commencé quand j'étais un petit enfant et, année après année, elle s'est muée en philosophie politique. À cause de mes convictions, mon propre pays me condamne à la prison [...] » — Déclaration d'insoumission de Jonathan Ben Artzi citée par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 121 En 2002, 52 réservistes objecteurs de conscience israéliens n'acceptent plus de servir en Cisjordanie et à Gaza et signent le manifeste « Le courage de refuser » (Ometz LeSarev, hébreux : אומץ לסרב). Un an plus tard, ils sont 512. « Le courage de refuser. Nous, officiers et soldats réservistes membres d'unités combattantes des forces de Tsahal, élevés salon les principes du sionisme, du sacrifice et du dévouement pour le peuple d'Israël et à l'État d'Israël, nous qui avons toujours servi en première ligne, et qui avons toujours été les premiers à accomplir notre mission quelle qu'en soit la difficulté, afin de protéger et renforcer et renforcer l'État. […] Nous, qui avons ressenti à quel point les ordres qui nous ont été donnés dans les Territoires détruisent toutes les valeurs qui nous ont été inculquées alors que nous grandissions dans ce pays. […] Nous ne continuerons pas à combattre au-delà des frontières de 1967 afin de dominer, d’expulser, d’affamer et d’humilier un peuple tout entier. » — Cité par Fabienne Messica et Tamir Sorek, Refuzniks israéliens : ces soldats qui refusent de combattre dans les territoires occupés, P. 66-67 Le 14 avril 2002, la chanteuse à succès Yafa Yarkoni, surnommée « la chanteuse des guerres » en raison de ses tournées sur le front pendant les guerres israélo-arabes, surprend dans un entretien à la radio militaire Galatz en soutenant les officiers signataires du manifeste, si bien que son concert pour la fête de l'Indépendance est annulé. Pour le sergent Shammaï Leibowitz, philosophe, théologien et un des réservistes de Tsahal qui refusent de servir dans les Territoires palestiniens, le premier objecteur de conscience de l’Histoire fut le patriarche Abraham, qui a résisté à Dieu et l’a empêché de détruire Sodome et Gomorrhe par ce cri du cœur : « Détruiras-tu les justes parmi les pécheurs ? » (Genèse 18, 23). Abraham subordonna l’ordre divin à la morale et se révolta contre la punition collective. En 2003, vingt-sept pilotes de l’armée dénoncent dans une lettre ouverte les attaques « illégales et immorales que l’État d’Israël effectue dans les territoires palestiniens ». Le 4 janvier 2004, cinq objecteurs de conscience, qualifiés par le président du tribunal de « pires criminels » parce que « coupables d'un crime idéologique », sont condamnés à un an de prison. Le même jour, le lieutenant-colonel de réserve Eyran Ronel rend ses galons au chef d'état-major de l'armée. Il explique : « L'armée ne respecte plus les valeurs éthiques qui ont été les siennes. Des enfants tombent régulièrement sous nos balles dans les territoires palestiniens occupés, c'est à la fois illégal et immoral. » est le premier refuznik de la guerre au Liban démarrée en juillet 2006. Par une lettre envoyée en 2014 au premier ministre et au chef d'état-major, 43 officiers et soldats israéliens de réserve ayant servi dans l'unité 8200, la plus prestigieuse unité de renseignement militaire israélien, refusent de servir et de participer aux abus commis, selon eux, contre les Palestiniens. En 2020, soixante lycéens et lycéennes israéliens signent une lettre refusant leur conscription. Ils dénoncent l'occupation des territoires palestiniens. Seuls parmi les Arabes vivant en Israël, les hommes (et non les femmes) druzes sont astreints au service militaire. Parmi eux, il y a aussi des refuzniks. Des Israéliennes sont aussi objectrices de conscience et emprisonnées. Mais, refuznik peut aussi designer des soldats israéliens refusant de détruire des maisons palestiniennes. Ils se regroupent dans l' (en) (Comité israélien contre les démolitions de maisons). Leur mouvement est soutenu par Pax Christi. (fr)
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