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- L'ordo decurionum obéit aux mêmes règles que les ordres supérieurs (ordre sénatorial et ordre équestre) mais nécessitant des critères de fortune et de moralité moindres. Comme pour les autres ordres, il fallait être inscrit à l'album décurionnal où l'on trouvait, en tête de liste, les primores viri souvent chevaliers qui occupaient les postes les plus importants. Les familles riches qu'elles soient sénatoriales ou équestres monopolisaient souvent les rôles dans les cités provinciales (municipes). Pour pouvoir être décurion, il fallait :
* être citoyen latin ou romain
* être âgé d'au moins 25 ans
* ne pas être frappé d'infamie
* avoir le cens minimum pour assumer la summa honoriaria, garantie liée à la fonction publique. Il dépend de la ville : 20 000 sesterces pour les cités modestes à 100 000 pour Côme ou l'équivalent du cens équestre à Tarragone ou Gadès. Quelle que soit la taille des cités, l'ordre contenait habituellement 100 membres, ce qui explique pourquoi il était beaucoup plus facile d'y entrer dans les petites villes. Le nombre de décurions sur l'étendue de l'empire romain est estimé à 150 000, soit environ 2 à 3 % de la population en comptant la famille. (fr)
- L'ordo decurionum obéit aux mêmes règles que les ordres supérieurs (ordre sénatorial et ordre équestre) mais nécessitant des critères de fortune et de moralité moindres. Comme pour les autres ordres, il fallait être inscrit à l'album décurionnal où l'on trouvait, en tête de liste, les primores viri souvent chevaliers qui occupaient les postes les plus importants. Les familles riches qu'elles soient sénatoriales ou équestres monopolisaient souvent les rôles dans les cités provinciales (municipes). Pour pouvoir être décurion, il fallait :
* être citoyen latin ou romain
* être âgé d'au moins 25 ans
* ne pas être frappé d'infamie
* avoir le cens minimum pour assumer la summa honoriaria, garantie liée à la fonction publique. Il dépend de la ville : 20 000 sesterces pour les cités modestes à 100 000 pour Côme ou l'équivalent du cens équestre à Tarragone ou Gadès. Quelle que soit la taille des cités, l'ordre contenait habituellement 100 membres, ce qui explique pourquoi il était beaucoup plus facile d'y entrer dans les petites villes. Le nombre de décurions sur l'étendue de l'empire romain est estimé à 150 000, soit environ 2 à 3 % de la population en comptant la famille. (fr)
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- Collection de l'École française de Rome (fr)
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- Collection de l'École française de Rome (fr)
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- Mireille Cébeillac-Gervasoni (fr)
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- Mireille Cébeillac-Gervasoni (fr)
- François Jacques (fr)
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- Jacques (fr)
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- Jacques (fr)
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- Laurent (fr)
- Mireille (fr)
- François (fr)
- Laurent (fr)
- Mireille (fr)
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- Le Privilège de liberté. Politique impériale et autonomie municipale dans les cités de l'Occident romain (fr)
- Les élites et leurs facettes. Les élites locales dans le monde hellénistique et romain (fr)
- Le Privilège de liberté. Politique impériale et autonomie municipale dans les cités de l'Occident romain (fr)
- Les élites et leurs facettes. Les élites locales dans le monde hellénistique et romain (fr)
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- École française de Rome (fr)
- École française de Rome/Presses universitaires Blaise Pascal (fr)
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- École française de Rome/Presses universitaires Blaise Pascal (fr)
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- L'ordo decurionum obéit aux mêmes règles que les ordres supérieurs (ordre sénatorial et ordre équestre) mais nécessitant des critères de fortune et de moralité moindres. Comme pour les autres ordres, il fallait être inscrit à l'album décurionnal où l'on trouvait, en tête de liste, les primores viri souvent chevaliers qui occupaient les postes les plus importants. Les familles riches qu'elles soient sénatoriales ou équestres monopolisaient souvent les rôles dans les cités provinciales (municipes). Pour pouvoir être décurion, il fallait : (fr)
- L'ordo decurionum obéit aux mêmes règles que les ordres supérieurs (ordre sénatorial et ordre équestre) mais nécessitant des critères de fortune et de moralité moindres. Comme pour les autres ordres, il fallait être inscrit à l'album décurionnal où l'on trouvait, en tête de liste, les primores viri souvent chevaliers qui occupaient les postes les plus importants. Les familles riches qu'elles soient sénatoriales ou équestres monopolisaient souvent les rôles dans les cités provinciales (municipes). Pour pouvoir être décurion, il fallait : (fr)
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- Decurion (administrative) (en)
- Decurião (administrativo) (pt)
- Ordre décurional (fr)
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