En grec ancien, l’accent ne peut remonter au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin du mot, et est fixé par la loi de limitation. Plus précisément, si la dernière syllabe est brève, il ne peut y avoir d'accent aigu au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin, et il ne peut y avoir d'accent circonflexe au-delà de la pénultième ; et si elle est longue, l'accent aigu ne peut reculer au-delà de la pénultième, et le circonflexe ne peut se placer que sur la finale.

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  • En grec ancien, l’accent ne peut remonter au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin du mot, et est fixé par la loi de limitation. Plus précisément, si la dernière syllabe est brève, il ne peut y avoir d'accent aigu au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin, et il ne peut y avoir d'accent circonflexe au-delà de la pénultième ; et si elle est longue, l'accent aigu ne peut reculer au-delà de la pénultième, et le circonflexe ne peut se placer que sur la finale. Les seules exceptions à cette loi sont liées à des métathèses de quantité postérieures à la fixation de l'accent. Par exemple, l’accentuation apparemment anormale de τῆς πόλεως s’explique par une métathèse de quantité appliquée à l’ancienne forme πόληος. Cette loi propre au grec explique un certain nombre de différences entre l'accentuation du grec et celle de l'indo-européen. (fr)
  • En grec ancien, l’accent ne peut remonter au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin du mot, et est fixé par la loi de limitation. Plus précisément, si la dernière syllabe est brève, il ne peut y avoir d'accent aigu au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin, et il ne peut y avoir d'accent circonflexe au-delà de la pénultième ; et si elle est longue, l'accent aigu ne peut reculer au-delà de la pénultième, et le circonflexe ne peut se placer que sur la finale. Les seules exceptions à cette loi sont liées à des métathèses de quantité postérieures à la fixation de l'accent. Par exemple, l’accentuation apparemment anormale de τῆς πόλεως s’explique par une métathèse de quantité appliquée à l’ancienne forme πόληος. Cette loi propre au grec explique un certain nombre de différences entre l'accentuation du grec et celle de l'indo-européen. (fr)
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  • En grec ancien, l’accent ne peut remonter au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin du mot, et est fixé par la loi de limitation. Plus précisément, si la dernière syllabe est brève, il ne peut y avoir d'accent aigu au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin, et il ne peut y avoir d'accent circonflexe au-delà de la pénultième ; et si elle est longue, l'accent aigu ne peut reculer au-delà de la pénultième, et le circonflexe ne peut se placer que sur la finale. (fr)
  • En grec ancien, l’accent ne peut remonter au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin du mot, et est fixé par la loi de limitation. Plus précisément, si la dernière syllabe est brève, il ne peut y avoir d'accent aigu au-delà de la troisième syllabe à partir de la fin, et il ne peut y avoir d'accent circonflexe au-delà de la pénultième ; et si elle est longue, l'accent aigu ne peut reculer au-delà de la pénultième, et le circonflexe ne peut se placer que sur la finale. (fr)
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  • Loi de limitation (fr)
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