La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la , ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui.

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  • La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la , ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui. (fr)
  • La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la , ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui. (fr)
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  • Donation de Froilhe Hermigues dont on peut consulter l'original aux archives nationales du Portugal ou lire la transcription dans . Il préside également le chapitre provincial de l'ordre à Castelo Branco cette année là. On trouve également mention de ce maître dans les archives de l'ordre de Calatrava en tant que maître en Castille et León à priori en 1228. (fr)
  • Titulature inhabituelle pour le milieu du : « rector et minister pro Templo in Lombardia », cf. . (fr)
  • « Renaudus, frater militiae templi, perceptor balliviae de Landrecesio » si on suit l'opinion de Marie-Luise Bulst-Thiele, partagée par Jochen Burgtorf bien qu'il puisse s'agir d'un frère Renaudus totalement distinct. La baillie de Landrecies n'est pas mentionnée dans d'autres documents, sachant que la commanderie templière connue la plus proche serait celle de Saint-Aubin, la charte traitant justement d'un accord au sujet de l'étang de S. Albano conclu avec Bouchard d'Avesnes. D'après Émile-Guillaume Léonard, , Tableau des Maisons du Temple en France et de leurs commandeurs: 1150-1317, Ed du Giet, 1980, Renaudus était commandeur de la baillie du Laon . (fr)
  • Mancester d'après Evelyn Lord, Manchester ?, « Manecestria » correspond à Mancetter selon une autre source. (fr)
  • Émile-Guillaume Léonard n'indique pas le prénom et ne donne pas de date pour ce maître du Poitou , vers le milieu du . Même constat concernant le prénom chez Jean-Claude Bonnin et pour l'abbé de La Boutetière. Il figure pourtant parmi les témoins du traité de paix entre Henri II d'Angleterre et Louis VII le Jeune en 1160 sous le nom de Petro Episcopo mais sans titre particulier , seul Guillaume Pavet y étant désigné comme maître du Temple mais sans précision géographique . Quatre autres noms de dignitaires templiers apparaissent également parmi les témoins: Otton de Saint-Omer , Gilbert de Lacy , Richard de Hastings et Robert de Pirou , tous frères du Temple. (fr)
  • Il a été commandeur de Montsaunès plusieurs fois car d'autres noms s'intercalent, notamment Bernardus W. d'Espello et Arnaud de Calmont et on peut affiner ces périodes à partir des chartes de coutumes de Montsaunès et de Plagne mais aussi grâce à deux interrogatoires du procès. Par contre les dates proposées par Antoine du Bourg sont en contradiction avec Émile-Guillaume Léonard. (fr)
  • Dans certains ouvrages, on trouve le nom de Vasco Bernardes au lieu de Fernandes en référence au dernier maître du Temple du Portugal qui est devenu commandeur de Montalvão. Source primaire non consultée. (fr)
  • Archivo Histórico Nacional, Tumbo Menor de Castilla, nº 101, pp. 337- 339. Publié dans O'Callaghan, Hermandades between the Military Orders(, publication partielle dans Mascareñas, Apología en 1651). (fr)
  • Ne figure pas dans la liste des maîtres de la province de France établie par Émile-Guillaume Léonard. Victor de Beauvillé indique que cette charte se trouve aux archives du département de la Somme, elle doit être absente de la collection d'Albon. Pons de Rigaud est également maître cismarin l'année précédente puis de nouveau fin 1198 mentionné dans les registres épistolaires du pape Innocent III au sujet d'un différend qui opposait les templiers de Montpellier et le chapitre de la cathédrale de Maguelone depuis avril 1197 et qui fut réglé à Arles par l'archevêque Imbert d'Eyguières. Émile-Guillaume Léonard indique qu'il est maître cismarin sans discontinuer de 1196 à 1202, peut-être de 1193 à 1207. À priori c'est inexact car il s'agit d'une charge temporaire. On trouve par ailleurs Pons de Rigaud qualifié de maître en Italie, Provence et Espagne en 1200 et il se trouve à Acre en 1201. (fr)
  • . Source indirecte issue du procès , interrogatoire du frère Jean Senandi qui dit avoir assisté à la réception du frère Odon de Belna par « frater Hugo de Penrando... qui tunc erat preceptor de Cabilone » mais sans pouvoir préciser quand. (fr)
  • Commandeur d'Argentens et des maisons du Temple en Agenais sous la Garonne. Bruhles est alors chef-lieu de baillie pour les possessions dans l'Agenais entre la Garonne et la Dordogne. Son titre est similaire à celui de 1262 avec de légères variantes dans l'intitulé selon les années: 1263 ⇒ « e de las autras maizons d'Agenes desa Garona », 1264 ⇒ « comandaire de la maizon d'Argente, e de totas las autras maizons d'Agenes desa Garona », 1265 ⇒ « comanador de la mazon del Temple d'Argente e de las autras maizons d'Agenes desa Garona », 1267 ⇒ « comanador de la maizon de la cavalaria del Temple d'Argente e de las autras maizons d'Agenes desa Garona » . Émile-Guillaume Léonard indique 1267 comme dernière année . (fr)
  • Officiellement il est resté maître des trois royaumes jusqu'en 1288 mais dans les faits, Gómez García est le seul à acter en Castille et León à partir de 1285 bénéficiant de l'appui du nouveau roi Sanche IV de Castille. (fr)
  • Dates établies par déduction. Frère Hugues de Barcelone étant mentionné de 1155 à 1173 en tant que maître et attesté de 1159 à avril 1162 comme maître de Provence et partie des Espagnes. (fr)
  • Source secondaire provenant des archives de la famille des dans laquelle ce dignitaire est qualifié de « grand visiteur et commandeur templier », tué en 1230 alors qu'il visitait la Hongrie, « in peripheria Liptoviensi, in monte Mnich ad S. Martinum », près de Liptovský Mikuláš, actuellement en Slovaquie mais qui faisait partie à l'époque du royaume de Hongrie. La titulature de grand visiteur n'était pas en usage à cette période, il s'agit peut-être du visiteur cismarin mais en aucun cas d'un maître de la province de Hongrie. Aucune autre charte ne mentionne ce dignitaire de l'ordre du Temple. (fr)
  • Du point de vue de la province templière, la Castille et le León ont été séparés à la suite du conflit qui opposa les deux royaumes . À Rodrigo succède Garniero comme maître de Castille . (fr)
  • Homonyme ou peut-être Henri de Trévise que l'on trouve à partir de 1268 ? Il s'agit du commandeur de Pavie à qui a été donné l'église de San Giacomo di Tortona en 1252. (fr)
  • En contradiction avec la liste proposée par Antoine du Bourg qui indique Forlamer de Seados . Cet auteur ne le mentionne que comme commandeur d'Argentens. (fr)
  • Ce dignitaire ne figure pas dans les listes connues de ces maîtres de province en Angleterre. L'hypothèse est suggérée par Trevor Foulds et demande être vérifiée car la titulature employée dans la charte ne précise pas s'il s'agit du maître en Angleterre et est assez inhabituelle: « Hiis testibus : Waltero magistro de Templo », Cartulaire de Beauvoir, donation faite par Robert alias Oliver Deyncourt au moment de son entrée dans les ordres comme moine de cette abbaye. (fr)
  • La date de donation du fief d'Argentens, point de départ de la future commanderie de ce nom n'est pas connue car la charte n'est pas datée. Antoine du Bourg ne propose pas de date précise mais indique indirectement entre 1155 et 1158, à savoir la période qu'il donne pour Augier de Bedeisan comme maître de Gascogne , partant du postulat quHélie Focald lui aurait succédé en 1159 et qu'il est mort entre-temps . Émile-Guillaume Léonard indique également que Augier a été maître de Gascogne avant 1159 et que Hélie Focald lui succède cette année-là. Sachant que Augier est toujours vivant en 1167, actant devant Hélie dans une charte par laquelle Raymond de Bouglon cède la moitié de la dîme de Saint-Hilaire de Cavagnan , et que ce document ne date pas de 1160 contrairement à ce que pensait Antoine du Bourg. Cette donation est vraisemblablement plus tardive. (fr)
  • Doute possible sur le fait que le dignitaire nommé Aimo ou encore Amions en 1183 et qualifié de maître en France soit le même que Amio de Ays ou des Haies attesté comme maître cismarin sans discontinuer de 1179 à 1186. J. Burgtorf pense que la charte de 1183 où Aimo s'intitule « magister milicie Templi » ne permet pas de corroborer le fait qu'il soit maître de la province de France cette année-là mais plutôt maître cismarin puisque l'on trouve un autre document en 1983 avec ce titre . Émile-Guillaume Léonard ne l'incluait pas non plus dans la liste des maîtres de la province de France alors que Victor Carrière est formel sur l'existence du frère Amion, commandeur de la province de France en 1183 s'appuyant sur une charte dans laquelle il s'intitule « Amions fratrum templariorum in Francia commorantium [dictus] magister » (fr)
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  • Ni Hélie Focald ni Pierre de Saint-Jean n'ont de titre précis dans cette charte que l'on trouve dans le cartulaire de Douzens mais Hélie intervient vraisemblablement au titre de commandeur de la baillie de Narbonne et Pierre est connu cette année-là comme maître de la baillie de Carcassonne et commandeur de Douzens , la donation du seigneur de Domneuve portant sur des biens dans ces deux baillies. Le château de Domneuve se trouvait au sud-est de Carcassonne et au sud-ouest de Narbonne . (fr)
  • Pas de date précise. Andreas Armani de monte Oderisio indique avoir été reçu du temps où Boniface VIII était pape donc entre 1295 et octobre 1303 par le grand commandeur des Abruzzes et des Pouilles qui était Petrus Ultramontanus et qui est maintenant Oddo de Valdric. (fr)
  • Accord de paix entre les templiers de Lorraine et Wacelon d’Avilliers: p. 17, onzième charte. Y figure également Raoul d'Apremont: « par l'o_troi et par lo crant de freire Rou d'Aspremont, et des altres freires ». La commanderie de Marbotte n'est pas explicitement citée mais comme cette charte provient du cartulaire de Marbotte, on peut supposer que Raoul d'Apremont en est alors le commandeur. (fr)
  • La titulature employée en 1169 ne permet pas d'être certain qu'il n'est maître que de la Lombardie. (fr)
  • Arnaldo da Rocha (fr)
  • Baudoin de Gand (fr)
  • Il s'agit de Guillaume de Sonnac, maître de l'ordre . Il n'est pas maître en Hongrie. La charte mentionne: « Hec est concordia inita inter Jacobum Teupolum dei gratia inclitum ducem Veneciarum ex una parte, suo nomine et communis Veneciarum, et fratrem Jacobum de Turrisellis ex altera, nuncium venerabilis fratris domini Guilielmi de Sonai magistri domus milicie Templi... ut apparebat per litteras sigillatas dicti magistri, presentibus et consencientibus fratre Harmanno de Burgo praeceptore in Campania et Marchia Tarvisina et fratre Jordano preceptore Oranie et Sennie » ou selon une autre interprétation « fratre Jacobo de Turisellis , nuntio fratris Guilelmi de Sonar magistri domus militiae Templi, consentientibus fratre Hermano de Burgo praeceptore in Campania et Marchia Tarvisina, et fratre Iordano praeceptore Vranae et Senniae ». Accord entre Jacopo Tiepolo, doge de Venise et le représentant du Temple frère Jacques de Turrisellis, muni d'une lettre ,semble-il scellée, du maître de l'ordre Guillaume de Sonnac en présence et avec l'accord dHermann, commandeur en Campanie et dans la marche de Trévise et de Jourdain, commandeur de Vrana et de Szeng. (fr)
  • Charles G. Addison (fr)
  • En 1280 tel qu'il figure dans trois documents des registres angevins de Naples et non 1295 comme indiqué dans l'ouvrage de . Dobronić prenant sa source chez Wenzel Gustáv, deux documents qu'il date à tort de 1295 , un troisième toujours à propos de ce même Robertus de Gudde étant bien daté de 1280 mais Dobronić ne fait pas mention de ce dernier. La source primaire est pourtant commune à tous ces ouvrages . Il s'avère également qu'il se trouve à Naples en 1295 envoyé par Yvan Gürding et de nouveau en qualité de maître de Hongrie (fr)
  • Donation par Raymond de Bouglon de la moitié de la dîme de Saint-Hilaire de Cavagnan. Dans l'ouvrage d'Antoine du Bourg, cette charte n'a pas de date . Il indiquait 1160, antérieur à 1165 . Or elle date en réalité de 1167 et il existe deux actes qui le prouvent: Archives départementales de Haute-Garonne, Série H, Commanderie d'Argenteins, H MALTEINV 35-36, « Romestaing, Cartulaire n°8 ». La présence du frère Augier permet d'infirmer certaines dates proposées par Antoine du Bourg, de reconsidérer la période pendant laquelle Augier de Bedeisan est resté maître de Gascogne au-delà de 1167 et montre qu'Hélie n'est encore que commandeur de Cours/Romestaing. Ce dernier part ensuite pour Narbonne la même année et est encore dans cette région en 1171 comme commandeur de Périès, ce qui amène à penser que Augier était encore vivant à cette date car Hélie ne semble pas avoir pu être maître de Gascogne avant 1172 et on a la preuve qu'il est bien son successeur peu après la donation de l'église d'Argentens . (fr)
  • Bulle du pape Grégoire X en 1275 confirmant les privilèges des templiers en Hongrie et dans laquelle on retrouve les privilèges accordés par les rois successifs de ce royaume, Béla IV de Hongrie, Étienne V de Hongrie, Ladislas IV de Hongrie. Certaines date ne sont pas mentionnées mais Franko apparait clairement en 1268 et après. (fr)
  • Date indéterminée, les retraits relatifs à cet événement ne mentionnent pas de date mais postérieur à juillet 1239 et antérieur à la nomination de Martín Martínez qui est attesté en 1241. (fr)
  • Foulques de Montpezat (fr)
  • Guilhem d'Alliac (fr)
  • Guillaume de Montredon (fr)
  • date indiquée dans la Gallia christiana mais qui pourrait être erronée si on suit l'opinion d'Ambroise Tardieu, celui-ci proposant 1309. Auquel cas il s'agit de Gérard de Villers, dernier maître de la province. Dans cet acte figure Johannes Senaldi, commandeur de la Fouilhouze or on trouve un commandeur du même nom durant le procès de l'ordre du Temple. Opinion partagée par Roger & Anne-Marie Sève dans : . (fr)
  • À l’exception de Robert de Beauvais en 1291 absent chez Léonard (fr)
  • En 1283, on trouve également une charte rédigée à Montpellier, mais sans le nom du dignitaire, qui mentionne le « preceptor domus milicie templi de Argenteno Agennensi ultra Garonnam » . Vraisemblablement Pierre de Sombrun. (fr)
  • North Cave (fr)
  • La locution latine correspondante est « Locum tenens ». Il ne s'agit pas d'un lieutenant au sens actuel de ce terme, à savoir un subordonné permanent de ce dignitaire chargé de certaines tâches . Le Tenant lieu, toujours un templier avec un rang moins important, prenait sa place durant l'absence du titulaire ou actait comme tel en attendant la nomination d'un nouveau dignitaire à la suite de son décès par exemple. Il arrivait que le dignitaire soit mandaté pour une mission particulière à l'extérieur de sa province, convoqué à un chapitre général de l'ordre ou encore parce qu'il s'est rendu au couvent de l'ordre en Orient. (fr)
  • Pierre de Montcada (fr)
  • Pons de Croix (fr)
  • Quarczanis (fr)
  • Raymond de Montcada (fr)
  • Archives départementales de la Meuse, 4 H 6, p. 222. Charte issue d'un recueil de copies du que Jean-Marc Roger qualifie de suspecte . Peut-être une simple erreur de date du copiste ? À rapprocher éventuellement de la période du frère Jean qui fut maître pendant treize ans et qui est mort en février 1288. Cette charte pourrait plutôt dater de 1284 puisque frère Martin est formellement attesté entre 1269 et 1274. (fr)
  • Léonard indique 1207-1214 mais il y a nécessairement eu interruption puisqu'il commandait le Puy-en-Velay en 1210 et Pézenas en 1213 puis en 1218-1219. (fr)
  • Paul Vincent Smith indique à tort que fr. Gebhard n'apparait jamais avec un titre régional. Dans la source qu'il cite pour 1244, Gebhard est pourtant mentionné comme « preceptori domorum militie Templi per Alemanniam ». (fr)
  • Pavie était une commanderie importante et il se pourrait qu'il soit le commandeur de cette baillie en 1268 alors que frère Nicolao est commandeur de la maison du Temple de Pavie car dans l'énumération des commandeurs présents, il figure devant: « fratre Gabriele de Gambalara, fratre Nicolao preceptore domus Papie ». Elena Bellomo n'évoque pas cette éventualité mais s'interroge sur l'absence de titre en 1268. (fr)
  • Pas de commanderie attestée, les possessions dans le sud étant administrées à partir de la commanderie de Garway et aucun templier ne semble avoir été arrêté au pays de Galles, cf. Liste des commanderies templières au Pays de Galles. Mais au nord une maison du Temple située entre le château fortifié de Rhuddlan et celui près de Basingwerk avait été fondée à l'initiative d'Henri II (roi d'Angleterre) en 1158. (fr)
  • En 1271, frère Arnaud d'Aule, commandeur du Temple règle un litige concernant l'église Saint-Vincent-du-Temple de Port-Sainte-Marie qui dépendait de la commanderie d'Argentens . Pourrait être Arnault Dauron, le commandeur d'Argentens attesté en 1273-1275. (fr)
  • Burgtorf ne mentionne aucune pièce pour 1244 et 1245 et Guy de Bazainville parait exercer cette charge en mars 1243, ce qui laisserait penser qu'il y a une interruption pour ce dignitaire. Or Renaud de Vichiers apparaît dans deux chartes de 1243 . Par ailleurs il existe aussi une charte de février 1244 ainsi qu'une charte en juin 1245 et une pour décembre 1245 où on trouve de nouveau Renaud de Vichiers. (fr)
  • Par exemple la succession de Guilherme Fulcon mentionnée dans la règle du Temple ou encore la période de maîtrise du frère Guillèn qui n'apparaît jamais au Portugal. (fr)
  • Sources divergentes sur le toponyme qui correspond à : « Gravinha ». Damien Carraz l'associe à Gauzignan . Antoine Du Bourg proposait Graynhia , ce qui semble correspondre à Grignan dans la Drôme or on ne trouve aucun document dans les archives du Dauphiné avec cette graphie. On voit également Barrau de Grasillon et Bernard de Graigne qui doivent être un seul individu. Monique Sieuzac propose Graulhet dans le Tarn . (fr)
  • Information qui provient de l'abbé Ythier dans Histoire ecclésiastique de Provins, t. VII et que l'on retrouve dans Bibliothèque de l'École des chartes, 1858, tome quatrième. Delphine Marie indique Pons d'Albon, 1236-1240 sans interruption , en contradiction avec la charte de Pierre de Saint-Romain en juin 1238 . Émile-Guillaume Léonard le mentionne en 1236, 1238, 1240 et 1246 . La charte de 1236 contient l'abréviation P., ce qui peut correspondre à l'un ou l'autre de ces dignitaires. (fr)
  • Damien Carraz considérait, dans son premier ouvrage , que Peire et Jaufré de Pierrevert étaient deux individus distincts contrairement à certains historiens italiens. Il évoque l'éventualité que ce puisse être une seule personne dans une parution de 2012: fiche prosopographique de Jaufré de Pierrevert . À priori, le titre de maître dans les Pouilles et dans les Abruzzes correspond à celui de maître dans le royaume de Sicile. Pendant les interrogatoires du procès à Chypre, le frère Simon de Racanato indique avoir été reçu à Barletta il y a sept ans par Jaufré de Pierrevert, maître de l'ordre dans les Pouilles alors que l'on trouve le nom de Peire de Pierrevert « au-delà des montagnes » dans les interrogatoires qui se sont déroulés dans les états pontificaux et les Abruzzes à peu près aux mêmes dates. Deux individus distincts? (fr)
  • Donation des terres dArrivet, Sainte-Quitterie de Rives, aujourd'hui Sainte-Quitterie de Béas? C'est une des chartes qui pose problème car le siège de Castillon, seule indication temporelle du document, a eu lieu en 1161 mais aussi en 1175. Antoine du Bourg pensait à celui de 1161, Émile-Guillaume Léonard à celui de 1175 car c'est la date qu'il donne pour les trois dignitaires templiers présents dans cette charte. (fr)
  • majordome royal (fr)
  • Et non en 1158/59 comme le supposait Antoine du Bourg car toujours vivant en 1167. (fr)
  • Dans son ouvrage, aucun commandeur de Brulhes n'apparait avec le titre de commandeur/maître de l'Agenais contrairement à de nombreux commandeurs d'Argentens. (fr)
  • Cette liste établie par les Hospitaliers contient un certain nombre d'erreurs liées à une confusion entre certains maîtres de Province et les maîtres de l'ordre qui se sont rendus en Angleterre comme Jacques de Molay en 1295. Dans le cas présent, peut-être qu'une erreur de date, il s'agirait alors de d'Amblard de Vienne . (fr)
  • prieuré de Clerkenwel (fr)
  • Trois documents en relation avec son frère, Emcho, évêque de Freising. Le premier en langue germanique où il a le titre de « maister Weilent » , les deux suivants en latin et il y apparaît sans titre particulier dont un qui stipule bien qu'il n'est plus maître en Allemagne, « Fridericus quondam magister Templi » . Dans ce même ouvrage, figure une charte de 1285 où il est maître, p. 429, doc. 392. (fr)
  • Nombreuses sources contradictoires. Sans doute le même dignitaire que le commandeur de Montsaunès que l'on trouve en 1278-1280 et 1287 selon Émile-Guillaume Léonard mais également en 1288 puis en 1302-1303 . Les dates proposées par Antoine du Bourg comme commandeur de l'Agenais se chevauchent avec une de ses périodes à Montsaunès et il n'y a rien qui permette de penser que le commandeur de Montsaunès et celui d'Argentens sont deux individus distincts. Monique Sieuzac indique par ailleurs commandeur d'Argentens de 1290 à 1293 et Thézan-Gaussan indiquait avoir trouvé une charte dans le fonds de Malte où il est commandeur d'Argentens en 1290 . On trouve également Bertrand de la Selve, connu comme commandeur de Brulhes, qui est mentionné par Antoine du Bourg comme lieutenant du commandeur de la baillie d'Agenais entre 1290 et 1295 . Cette information d'Antoine du Bourg est plutôt à prendre dans le sens en 1290 puis en 1295 car la charge de lieutenant était provisoire. Comme il ne s'agit que de sources indirectes et faute de pouvoir consulter les chartes relatives à Argentens dans lesquelles ces deux dignitaires apparaissent , on ne peut pas donner la période exacte pendant laquelle Sénébrun de Pins a été commandeur de l'Agenais et d'Argentens. Mais à priori pas avant 1290. (fr)
  • Date incertaine qui figure dans certains ouvrages du . Le premier auteur qui a proposé d'identifier Gebhard comme étant le « Magistro fratibus Domus militie Templi in Teutonia » qui apparait sans être nommé dans une confirmation du pape Grégoire IX en 1238 est dans Geschichtliche Nachrichten von dem Geschlechte Alvensleben und dessen Gütern, 1819, vol. 1, p. 213. Information reprise par Joseph Hormayr zu Hortenburgen en 1842 lorsqu'il dresse une liste des maîtres de la province d'Allemagne. Même information annotée dans . (fr)
  • Róbert de Gudde en 1280 et 1295, Theouron de Provence en 1303. Barletta était le point de départ privilégié pour l'Orient. (fr)
  • Erreur initiée par et reprise par Michel Henry qui le qualifie pourtant bien de maître de Lorraine sur la base d'un acte de février 1239 qui concerne la commanderie de Norroy et dans lequel son titre est bien celui de maître de Lorraine , . (fr)
  • L'acte où il apparaît ne serait pas de 1239 mais de 1228 d'après Pereira Martínez qui se base sur l'édition révisée de l'ouvrage de Viterbo par Mário Fiúza. José Manuel Capêlo n'est pas de cet avis, le donne comme maître des trois royaumes de 1239 à 1242, élu lors d'un chapitre en mai 1239, il ne mentionne qu'un seul acte en juin 1239 relatif à la donation faite à par Froilhe Hermigues de Lauredo près de ), et Cinfães. Froilhe Hermigues ayant déjà donné Vila Franca de Xira et toutes ses possessions en Castille et au Portugal en 1228. Les sources primaires ont été publiées dans un ouvrage du , deux documents tous deux datés de 1277 dans le calendrier julien, donc 1239. (fr)
  • Mentionné en 1224 uniquement par l'abbé Ythier. La charte concernée semble avoir disparu ou alors il s'agit d'une erreur de date puisque ce dignitaire est attesté dès l'année suivante et que l'on trouve en 1223 et 1225 Pierre de Saint-Romain et Jean de Tournus qui tient lieu de commandeur en l'absence du maître de la province. (fr)
  • Quelques noms des autres templiers présents en Moravie à cette période apparaissent dans d'autres documents de ce même ouvrage: fr. Cuno, fr. Cunradus (fr)
  • Les dates généralement proposées semblent erronées. À commencer par Jacques Clemens qui indique 1154-1159 mais comme ses recherches sont centrées sur l'Agenais, il a omis Guillaume de Verdun attesté en 1156. Antoine du Bourg indiquait 1155-1158, information reprise à l'identique par Monique Sieuzac. La mise au jour d'une charte de 1167 dans les archives d'Argentens montre que ce dignitaire est toujours vivant et décale de facto les débuts supposés de son successeur, Hélie Focald qui n'est alors que commandeur de Cours . (fr)
  • La charte n'est pas datée. Émile-Guillaume Léonard ne s'est pas prononcé et le plaçait avant Guillaume Arnaud , au tout au moins. Il mentionne un autre document non daté lui aussi où le titre est : « magister in Aquitania ». (fr)
  • Les deux seules sources primaires existantes mentionnent « : Monteletardi », traduit initialement en Montletard/Mont-Letard puis en Montliard par Victor Carrière en 1919, cette dernière graphie étant toujours usitée. Du point de vue de l'analyse toponymique et anthroponymique, on trouve également la graphie latine « Monteletardi » se rapportant au Prieuré Saint-Thomas de Molitard , diocèse de Chartes, doyenné du Dunois, commune actuelle de Conie-Molitard . (fr)
  • Dans les interrogatoires du procès, on trouve par exemple : « Qui frater Petrus Ultramontanus preceptor magnus Apulee et Ap[rut]ii ». Le titre ne se limite pas aux possessions dans les Abruzzes et les Pouilles actuelles mais bien à l'ensemble du sud de la botte italienne, à savoir la Sicile citérieure . (fr)
  • Aucun historien n'a été en mesure de dater précisément cette charte. Il s'agit de la confirmation d'un accord passé entre l'abbaye de Kirkstead et Richard de Hastings en 1155. Le cartulaire de Kirkstead indique entre 1155 et 1161. La période précise durant laquelle Richard de Hastings a été maître de cette province n'est pas connue. Il est attesté en 1155 puis en 1176/77, les autres documents où il apparait n'étant pas datés. (fr)
  • Dates établies par déduction, les maîtres étant nommés pour 4 ans. (fr)
  • Il existe un 3° acte pour 1271: traité de réconciliation entre Martin, commandeur de la baillie de Lorraine et le chapitre de Saint-Dié, cf. N. F. Gravier, Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié, Épinal, 1836, p. 157, . (fr)
  • Probablement le même individu, frater Gobertus mentionné en 1194 dans . La maison du Temple d'Aimont faisait partie de la baillie de Ponthieu. (fr)
  • Aucune référence n'est adossée à cette liste. Pour ne citer que le premier de ces dignitaires, Hugh of Argentine, l'auteur indique 1140 dans sa liste, le mentionne p. 74-75 pour l'année 1142 en indiquant une charte mais sans indiquer dans quel ouvrage ou collection elle se trouve... (fr)
  • « nostre amez frere Lorent de Biame, jadis commandaur de Apuli », extrait d'une lettre adressée à Laurent de Beaune au cours du procès à Paris . Au prime abord, le terme Apuli peut prêter à confusion mais l'analyse par Alain Demurger de l'ensemble des documents relatifs aux interrogatoires parisiens montre qu'il s'agit en fait du commandeur d'Épailly. (fr)
  • Donation par Raymond de Bouglon de ses terres de Cours-les-Bains. Charte non datée que M. Veilhon situe vers 1160 et qui provient du cartulaire de Cours. Cet auteur mentionne qu'il a été commandeur de Cours de 1160 à 1175 . Afin d'éviter toute confusion, cette charte correspond au paragraphe du document n°71 publié par du Bourg, le 2° paragraphe est plus tardif, Hélie est alors maître de Gascogne, « in manu Heliæ Focalt qui tempore illo Magister Vasconiæ » et Gaston de Castelmaurin, commandeur de Cours: « Gastonis de Castelmaurun qui comandator de Curnis existebat ». Gaston de Castelmaurin, également connu comme commandeur de Gimbrède , du temps où Hélie était maître de Gascogne, « dederut Deo et domui Templi terram d'Arrivet post longum tempus annuit Arnaldus Guillelmus Eliæ Folcaudi, Magistro domum tocius Vasconiæ, in domo Agenensi manente comandatore Jordan de la Contrariâ, Gastons de Castedmauron comandatore de Gimbrède » . Émile-Guillaume Léonard situe le document n°68 en 1175 et l'abbé Bénaben précise que Gaston apparait en tant que témoin dans les archives d'Argentens, avec le titre de commandeur de Gimbrède entre 1169 et 1179. À la vue de ces différentes pièces non datées et publiées par Antoine du Bourg, il y a manifestement des contradictions dans l'analyse que cet auteur en a fait. Les périodes proposées pour Hélie Focald, Gaston de Castelmauron et Jordan de Contraria semblent contradictoires voir erronées. Antoine du Bourg a peut-être été induit en erreur par la mention « Quo tempore Pictavensis Consul insedit Castillon » du document n°68, pensant qu'il s'agissait du siège de par Henri II d'Angleterre en 1161. Or il s'avère que le château de Castillon au nord-est d'Agen et au nord de Bon-Encontre a été assiégé une deuxième fois en 1175 par Richard, alors comte de Poitiers et futur roi d'Angleterre, ce qui permet de corroborer la date indiquée par Émile-Guillaume Léonard. (fr)
  • il s'agit du prieur de Hongrie de l'ordre dominicain, le document pourrait porter à confusion car il fait référence à des documents émanant de Vilmós de Peymes en 1284 qu'il authentifie. L'expression prior provincialis Hungarie n'était pas en usage chez les templiers. (fr)
  • Émile-Guillaume Léonard indique 1207 , 1209 et 1211 . On trouve ⇒ Noël 1206: « Frater Guillelmus Oculus Bovis, miliciæ Templi citra mare magister humilis » ; 1207: « frater Willelmus Oculus Bovis, magister militie Templi citra mare » , « fratris Willelmi Oculi Bovis, domorum Templi cis mare magistri » ; Pons de Rigaud en tant que maître cismarin en 1207-1208 [à vérifier] ; 1208: « frater W. Oculus Bovis, pauperis militiæ templi citra mare Minister humilis » ; 1209: « magister cismare Guillelmus Oculus Bovis... Praeceptor Franciens Andreas de Colours » ; 1211: « ? » ; 1273 : « Guill. Oculus Bovis, fratrum milicie Templi citra mare » . (fr)
  • La Campagne et Maritime était une province pontificale faisant partie de la province d'Italie alors que la terre de Labour faisait partie du royaume de Sicile et dépendait de la province des Pouilles puisqu'on trouve mention d'un précepteur de la baillie des Pouilles et de la terre de Labour, cf. . (fr)
  • Le document original n'a pas été consulté, erreur de traduction ? D'un point de vue géopolitique, il semble curieux de trouver un commandeur commun à cette date alors que Thomas II de Piémont, comte de Flandre et de Hainaut est en conflit avec Henri II de Brabant. (fr)
  • Evelyn Lord ne précise pas ses sources mais ces informations correspondent à ce que l'on trouve chez Émilie Amt et chez Parker. L'authenticité et les dates des chartes publiées par Béatrice Adélaide Lees concernant 1176-77 ne semblent pourtant pas avoir été contestées. (fr)
  • Guiraldus de Caercino, Templier présent à Arles en 1187. Même individu. (fr)
  • À priori puisque la charte émane de l’, Henri et qu'il s'agit d'un bien dans le duché de Silésie. (fr)
  • Source incohérente . L'auteur indique comme référence la prise de possession de l'Agenais par Philippe IV le Bel qui a eu lieu un siècle plus tard . Aucune information sur les archives où se trouve cette charte. (fr)
  • Généralement mentionné de 1163 à 1175 par les auteurs qui suivent la chronologie proposée par Antoine du Bourg. Les débuts supposés en 1163 sont en contradiction avec son prédécesseur Bernard Guilhem d'Aspet que l'on trouve au moins jusqu'en 1267. E.G Léonard ne le mentionne que comme commandeur d'Argentens . C'est d'ailleurs uniquement avec ce titre qu'on le trouve dans deux chartes de l'année 1174 mais la plupart des commandeurs connus d'Argentens au sont attestés comme commandeurs de la baillie de l'Agenais au même moment. (fr)
  • « Magister fratrum militi Templi in Brabantia et in Hasbania », « fratrem Walterum præceptorem domorum balliviæ militiæ Templi in Hasbania ». (fr)
  • En 1284, le frère Ripertus est « comandayre de las mayos de la cavalaria del Temple entre Garona e Dordonha ». Bertrand de la Selve, commandeur de Brulhes est qualifié de « comandaire del Temple de Brulhs e de las autras mayos del Temple que son entre Guarona e Dordonha » en 1290, il s'agit donc des possessions au nord de la Garonne. D'après Antoine du Bourg, Bertrand est ensuite lieutenant de la baillie de l'Agenais et on retrouve la même information chez Monique Sieuzac sauf que ce dignitaire est connu comme commandeur de Jalès en 1291. Certaines imprécisions chez Antoine du Bourg invitent à vérifier cette assertion. (fr)
  • L'erreur semble provenir de la mention d'un sceau de Terricus de Nussa en 1237 insérée au milieu d'une liste de sceaux templiers par G. C. Bascapè en 1959 dans son étude des sceaux des ordres militaires et hospitaliers, erreur reprise ensuite par Paul de Saint-Hilaire. L'illustration de ce sceau est identique à celui du prieur hospitalier de la langue d'Angleterre, avec le même nom et la même année, qui est conservé au British Museum. Une autre source qui pourrait également prêter à confusion mentionne un Terricus de Nussa comme commandeur templier de Radnage en 1237. Probablement le même dignitaire hospitalier car Radnage appartenait déjà en partie aux hospitaliers et il n'y a pas de commanderie templière attestée à cet endroit. (fr)
  • Ces dignitaires que l'on voit recevoir les premières donations dans l'Agenais sont maîtres de Gascogne, la baillie de l'Agenais n'existe pas encore. La plupart des chartes sont indiquées dans les commentaires se rapportant à chacun de ces dignitaires. (fr)
  • Sur le document original consultable aux archives nationales hongroises, la date exacte n'est pas visible, on ne voit que la fin: « M M ...agesimo » bien que l'espace manquant laisse peu de place pour écrire « quadragesimo » au lieu de « nonagesimo ». Ce document a été daté de 1240 par Wenzel Gusztáv dans le Codex diplomaticus Arpadianus . C'est également cette date qui est indiquée dans le Codex diplomaticus Regni Croatiae, Dalmatiae et Slavoniae . Lajos Thallóczy fut le premier à corriger cette date dans le Codex diplomaticus partium regno Hungariae adnexarum . Il est officiellement archivé pour l'année 1290 . (fr)
  • Malgré la proximité des événements , ce sont vraisemblablement deux individus distincts. Le plus connu fut chambellan des comtes de Champagne et est devenu « confrater » du Temple avant de se croiser en 1190. De ce fait, il paraît peu probable qu'il ait pu être maître de la province de France cette année-là. À son retour de Terre sainte, il a continué à effectuer de nombreuses donations envers l'ordre, ce qui tend à prouver là encore qu'il n'a pas été maître de Province car l'entrée dans l'ordre comme frère impliquait l'abandon de toutes ses possessions. Certains de ces actes mettent également en évidence qu'il est toujours marié, condition incompatible avec une appartenance à l'ordre. L'hypothèse que Robert de Milly, maître de la province de France se soit croisé également est à envisager dans la mesure où il est déjà mentionné par Léonard en 1180 et qu'il n'apparaît plus dans les sources après 1190. La parenté entre ces deux individus reste à étudier. (fr)
  • Nombreuses incertitudes et informations contradictoires concernant la période exacte pendant laquelle il a été maître de Gascogne. Les dates proposées par Antoine du Bourg en 1883 sont invalidées par des publications plus récentes. À commencer par Émile-Guillaume Léonard qui proposait de 1159 à 1175 , ce qui infirme les dates généralement indiquées par de nombreux auteurs sur la base des travaux initiaux d'Antoine du Bourg. Néanmoins les chartes où il apparait en tant que maître de Gascogne ne sont pas datées et on constate que d'une part son prédécesseur Augier de Bedeisan est toujours là en 1167 et que d'autre part il semble avoir été commandeur de Cours bien après la date généralement admise qui était uniquement 1160/61. La charte de 1167 que Antoine du Bourg situait vers 1160 montre qu'Augier occupait un rang plus élevé qu'Hélie et que ce dernier est encore à Cours . L'une des autres rares chartes datées de cette période ne précise pas le rang de ce dignitaire mais il semblerait qu'il soit déjà commandeur de Cours/Romestaing . A ceci se rajoute un ensemble de chartes qui le situent dans l'Hérault de 1167 à au moins 1171. Parmi les informations qui viennent contribuer à cette confusion il y a les dates proposées par Antoine du Bourg concernant Gaston de Castelmoron, commandeur de Cours , de Gimbrède et maître supposé de l'Agenais qui sont également contradictoires. Émile-Guillaume Léonard ne le mentionne pas pour Cours et indique 1175 pour Gimbrède. L' abbé Bénaben indique 1169-1179 comme commandeur de Gimbrède. Hélie et Gaston apparaissent ensemble dans ces deux documents non datés dans lesquels Hélie est maître de Gascogne . (fr)
  • Information donnée par Trudon des Ormes dans son étude sur les templiers en Picardie mais l'auteur infirme cette hypothèse en 1897 car ce dignitaire était en fait procureur de l'ordre en France . Émile-Guillaume Léonard l'inclut malgré tout dans cette liste . (fr)
  • cf. , « locotenente regio in Croatia e Dalmatia » (fr)
  • , commanderie principale des templiers dans le royaume de Hongrie. (fr)
  • A priori, il était déjà templier en 1253. Un frère Widekinus apparait dans une charte de 1253 signée à Magdebourg pendant la maîtrise du fr. Heinrich (fr)
  • Vers 1269-70 d'après Trudon des Ormes mais c'est forcément avant sa période en Aquitaine. (fr)
  • Voir Martin de Nesse, son prédécesseur attesté en 1230 et 1233. (fr)
  • Accord entre les religieux de Maguelone et les templiers de Montpellier. Outre Raimond de Gurb, maître de Provence et parties des Espagnes et , commandeur de la baillie de Provence, cet accord contient les noms de nombreux autres commandeurs des maisons du Temple dans cette province templière en 1200 réunis à l'occasion du chapitre annuel. Le cartulaire de Maguelone ne contient pas la lettre que l'on trouve dans les registres épistolaires d'Innocent III au sujet du différend opposant la commanderie de Montpellier à ces mêmes religieux fin 1198, contentieux ayant débuté en avril 1197 et qui est mentionnée dans cet accord . (fr)
  • Dans ce document, Robert dit de Beauvais occupe un rang supérieur à Jean de Maimbressy (fr)
  • Michel Henry considère à tort que le frère Hannes mentionné par Hammerstein et Aymon du Zelet qui apparaît dans les pièces du procès sont deux individus distincts. La période 1296-1306 proposée par Hammerstein va un peu trop loin mais il s'agit bien de Aymon d'Oiselay que l'on trouve déjà en 1296. On trouve ensuite Henri de Vauquelours en 1304 puis frère Demanges, dernier commandeur connu en 1306, Cf. . (fr)
  • A.J Forey et Damien Carraz proposent Guy comme prénom, pourrait correspondre à Guigue vu la graphie employée dans cette charte: « Guingo » plutôt que « Guido, Guidonis ». (fr)
  • Procès, interrogatoire du frère Guy de l'Oratoire, commandeur de la Sablonnière: « Item frater Guido de Oratorio...quod fuit receptus apud Moisiacum Meldensis diocesis, illo anno quo fuit ultimum concilium Lugduni, per fratrem Petrum Normanum militem, magistrum de Alneio... » que Laurent Dailliez analyse en : « Guy de l'Oratoire - sergent, commandeur de la Sablonnières - Moissy, par Pierre Normand, commandeur d'Aulnay en 1275 ». Trudon des Ormes indiquait: « en la maison de Moisy du diocèse de Meaux, l'année même du dernier concile de Lyon , alors qu'il était maître ou précepteur du Laonnais ». D'une part Dailliez ne précise pas de quel Aulnay il peut s'agir et il n'y a pas de commanderie de ce nom attestée, encore moins une baillie de ce nom. D'autre part ce serait le seul exemple d'un commandeur de maison qui effectue une réception dans une autre maison . Ce sont les maîtres de Province ou de baillie qui lorsqu'ils étaient présents effectuaient la réception d'un nouveau frère en lieu et place du commandeur de la maison. L'opinion de Trudon des Ormes parait plus plausible dans la mesure où Pierre le Normand est mentionné comme commandeur de la baillie du Laonnais vers 1275 et formellement attesté avec ce titre l'année suivante alors qu'il tient lieu de commandeur en France. (fr)
  • Problème de chevauchement de dates: Foulques de Saint-Michel apparait dans une charte datée d'avril 1256 or en mai 1256, Amaury de La Roche semble exercer cette charge. La date de l'une des deux chartes doit être erronée. On précisera que la graphie « Emauricus de Ruppe » est également employée dans une charte de 1266 en Champagne. Aucune charte n'indique le nom du maître de la province de France entre 1259 et 1260. (fr)
  • Il ne l'était plus en 1265, devenu visiteur de France lorsqu'il reçoit Jacques de Molay dans l'ordre en présence d'Amaury de La Roche, son successeur à la tête de la province de France, cf. . (fr)
  • Le document où apparait son nom est daté de 1324 mais il fait référence aux privilèges accordés aux templiers en 1286 par Élisabeth la Coumane, reine de Hongrie. (fr)
  • : præceptore Templi de bajulia de Tholosano. Exemple Bertrand de la Roche qui figure comme témoin en 1218 dans un hommage d'Amaury de Montfort. (fr)
prop-fr:trad
  • Castelo de Castelo Branco (fr)
  • Gondemaro (fr)
  • Mayordomo mayor del rey (fr)
  • Castelo de Montalvão (fr)
  • Friedrich Wildgraf von Kyrburg (fr)
  • Friedrich von Alvensleben (fr)
  • Gonzalo Argote de Molina (fr)
  • Clerkenwell Priory (fr)
  • Vranski priorat (fr)
  • Chwarszczany (fr)
  • Palau Reial Menor (fr)
  • Boudewijn van Gent (fr)
  • Charles G. Addison (fr)
  • Clarendon Palace (fr)
  • Francesc de Montpesat (fr)
  • Frei Arnaldo (fr)
  • Guilhem d'Azylach (fr)
  • Guillem de Montredon (fr)
  • North Cave (fr)
  • Pere de Montcada (fr)
  • Pontius de Cruce (fr)
  • Ramon II de Tortosa (fr)
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  • La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la , ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui. (fr)
  • La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la , ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui. (fr)
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  • Liste des maîtres de province de l'ordre du Temple (fr)
  • Liste des maîtres de province de l'ordre du Temple (fr)
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