Le Centre des affaires publiques et de l'État (CAPE de Jérusalem) est le nom français du Jerusalem Center for Public Affairs, un centre de recherche israélien indépendant basé à Jérusalem. Ses travaux se concentrent sur la politique extérieure israélienne, les relations israélo-palestiniennes, les questions de Défense et de Sécurité au Moyen-Orient, ainsi que les actes d'Israël selon le droit international dans le contexte du conflit israélo-arabe.

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  • Le Centre des affaires publiques et de l'État (CAPE de Jérusalem) est le nom français du Jerusalem Center for Public Affairs, un centre de recherche israélien indépendant basé à Jérusalem. Ses travaux se concentrent sur la politique extérieure israélienne, les relations israélo-palestiniennes, les questions de Défense et de Sécurité au Moyen-Orient, ainsi que les actes d'Israël selon le droit international dans le contexte du conflit israélo-arabe. Le CAPE de Jérusalem a été fondé en 1976 par Daniel J. Eleazar. Il est présidé depuis 2001 par (en), ancien Ambassadeur d'Israël à l'ONU (1997-1999) et conseiller diplomatique du Premier ministre Benjamin Nétanyahou. Le 25 mai 2015, Dore Gold a été nommé par le Premier ministre Nétanyahou à la tête du ministère israélien des Affaires étrangères et a décidé de se mettre temporairement en retrait du JCPA-CAPE de Jérusalem afin d'assumer ses nouvelles fonctions. Depuis 2008, le CAPE de Jérusalem se trouve sous la direction de Freddy Eytan, diplomate et journaliste-écrivain, qui fut le premier Ambassadeur d'Israël en Mauritanie. Le CAPE de Jérusalem publie des analyses, des enquêtes, mais aussi des recueils d'articles. On lui doit notamment d'avoir mis au jour un document secret signé du négociateur palestinien Saeb Erekat, daté de mars 2014, pour torpiller le processus de paix avec Israël. En août 2013, le CAPE de Jérusalem a révélé que le nouveau ministre iranien de la Guerre, Hossein Dehghan, n'était autre que le cerveau de l'attentat contre les Marines et les Paras de Beyrouth, du 23 octobre 1983, qui avait tué 241 Marines, 74 soldats français et fait des dizaines de blessés. En mars 2015, le CAPE de Jérusalem a publié une étude fouillée sur la guerre de Gaza de l'été 2014 (Opération "Bordure Protectrice"), signée de plusieurs spécialistes israéliens du terrorisme et de la guerre asymétrique, mais également en rapportant le témoignage du Colonel britannique (en). Plusieurs études du Centre des affaires publiques et de l'État de Jérusalem ont été conçues et diffusées en vidéo. Courts spots ou reportages, films mêlant la vidéo, l'animation et les images d'archives, ces programmes s'intéressent notamment à l'histoire de Jérusalem, ou encore à la question de savoir "Faut-il des forces étrangères pour assurer la sécurité d'Israël ?". Depuis 2005, le CAPE de Jérusalem publie des sondages d’opinion sur le processus de paix avec les Palestiniens. Le dernier sondage, effectué des 12 au 14 octobre 2014 avec l’Institut Shivoukim-Panorama, révèle que les trois quarts de la population juive israélienne continuent à s’opposer à un retrait d’Israël de la vallée du Jourdain et à un partage de Jérusalem. Le CAPE de Jérusalem organise également des colloques sur les relations diplomatiques entre Israël et l'Europe ou encore sur la montée de l'antisémitisme en Europe. Afin de criminaliser l'antisémitisme sur la scène internationale, le CAPE de Jérusalem a justement lancé, en mai 2015, un projet de "Convention sur la prévention et la répression des actes antisémites". (fr)
  • Le Centre des affaires publiques et de l'État (CAPE de Jérusalem) est le nom français du Jerusalem Center for Public Affairs, un centre de recherche israélien indépendant basé à Jérusalem. Ses travaux se concentrent sur la politique extérieure israélienne, les relations israélo-palestiniennes, les questions de Défense et de Sécurité au Moyen-Orient, ainsi que les actes d'Israël selon le droit international dans le contexte du conflit israélo-arabe. Le CAPE de Jérusalem a été fondé en 1976 par Daniel J. Eleazar. Il est présidé depuis 2001 par (en), ancien Ambassadeur d'Israël à l'ONU (1997-1999) et conseiller diplomatique du Premier ministre Benjamin Nétanyahou. Le 25 mai 2015, Dore Gold a été nommé par le Premier ministre Nétanyahou à la tête du ministère israélien des Affaires étrangères et a décidé de se mettre temporairement en retrait du JCPA-CAPE de Jérusalem afin d'assumer ses nouvelles fonctions. Depuis 2008, le CAPE de Jérusalem se trouve sous la direction de Freddy Eytan, diplomate et journaliste-écrivain, qui fut le premier Ambassadeur d'Israël en Mauritanie. Le CAPE de Jérusalem publie des analyses, des enquêtes, mais aussi des recueils d'articles. On lui doit notamment d'avoir mis au jour un document secret signé du négociateur palestinien Saeb Erekat, daté de mars 2014, pour torpiller le processus de paix avec Israël. En août 2013, le CAPE de Jérusalem a révélé que le nouveau ministre iranien de la Guerre, Hossein Dehghan, n'était autre que le cerveau de l'attentat contre les Marines et les Paras de Beyrouth, du 23 octobre 1983, qui avait tué 241 Marines, 74 soldats français et fait des dizaines de blessés. En mars 2015, le CAPE de Jérusalem a publié une étude fouillée sur la guerre de Gaza de l'été 2014 (Opération "Bordure Protectrice"), signée de plusieurs spécialistes israéliens du terrorisme et de la guerre asymétrique, mais également en rapportant le témoignage du Colonel britannique (en). Plusieurs études du Centre des affaires publiques et de l'État de Jérusalem ont été conçues et diffusées en vidéo. Courts spots ou reportages, films mêlant la vidéo, l'animation et les images d'archives, ces programmes s'intéressent notamment à l'histoire de Jérusalem, ou encore à la question de savoir "Faut-il des forces étrangères pour assurer la sécurité d'Israël ?". Depuis 2005, le CAPE de Jérusalem publie des sondages d’opinion sur le processus de paix avec les Palestiniens. Le dernier sondage, effectué des 12 au 14 octobre 2014 avec l’Institut Shivoukim-Panorama, révèle que les trois quarts de la population juive israélienne continuent à s’opposer à un retrait d’Israël de la vallée du Jourdain et à un partage de Jérusalem. Le CAPE de Jérusalem organise également des colloques sur les relations diplomatiques entre Israël et l'Europe ou encore sur la montée de l'antisémitisme en Europe. Afin de criminaliser l'antisémitisme sur la scène internationale, le CAPE de Jérusalem a justement lancé, en mai 2015, un projet de "Convention sur la prévention et la répression des actes antisémites". (fr)
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  • Le Centre des affaires publiques et de l'État (CAPE de Jérusalem) est le nom français du Jerusalem Center for Public Affairs, un centre de recherche israélien indépendant basé à Jérusalem. Ses travaux se concentrent sur la politique extérieure israélienne, les relations israélo-palestiniennes, les questions de Défense et de Sécurité au Moyen-Orient, ainsi que les actes d'Israël selon le droit international dans le contexte du conflit israélo-arabe. (fr)
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