Alain Lacoursière (17 avril 1960 à Saint-Casimir, Québec, Canada) est un policier canadien (québécois) qui s'est spécialisé dans les « crimes liés à l'art » au Canada. Il est surnommé « le Columbo de l'art », car il utilise des méthodes inhabituelles pour résoudre certaines affaires criminelles, dont le recours aux médias. Son insubordination régulière et son intérêt affirmé pour l'art, tous deux peu communs parmi les policiers, lui ont valu d'être régulièrement traité en paria par ses collègues, même s'il a connu un succès notable dans ses enquêtes. Il a pris sa retraite de la police en 2010 et continue à s'intéresser aux œuvres d'art.

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  • Alain Lacoursière (17 avril 1960 à Saint-Casimir, Québec, Canada) est un policier canadien (québécois) qui s'est spécialisé dans les « crimes liés à l'art » au Canada. Il est surnommé « le Columbo de l'art », car il utilise des méthodes inhabituelles pour résoudre certaines affaires criminelles, dont le recours aux médias. Son insubordination régulière et son intérêt affirmé pour l'art, tous deux peu communs parmi les policiers, lui ont valu d'être régulièrement traité en paria par ses collègues, même s'il a connu un succès notable dans ses enquêtes. Il a pris sa retraite de la police en 2010 et continue à s'intéresser aux œuvres d'art. (fr)
  • Alain Lacoursière (17 avril 1960 à Saint-Casimir, Québec, Canada) est un policier canadien (québécois) qui s'est spécialisé dans les « crimes liés à l'art » au Canada. Il est surnommé « le Columbo de l'art », car il utilise des méthodes inhabituelles pour résoudre certaines affaires criminelles, dont le recours aux médias. Son insubordination régulière et son intérêt affirmé pour l'art, tous deux peu communs parmi les policiers, lui ont valu d'être régulièrement traité en paria par ses collègues, même s'il a connu un succès notable dans ses enquêtes. Il a pris sa retraite de la police en 2010 et continue à s'intéresser aux œuvres d'art. (fr)
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  • Tamas Pikethy est amateur d'art : non seulement il a suivi des cours universitaires dans le domaine, mais en prison il est . Pour découvrir les œuvres d'art les plus précieuses des riches propriétaires de Westmount et d'Outremont, deux quartiers de Montréal, il travaille pour le compte d'un traiteur et profite des visites libres des résidences mises en vente. Il se fait également passer pour un camelot qui livre des circulaires publicitaires. Circulant de soir et habillé de tissus sombres, il peut facilement observer l'intérieur éclairé des résidences depuis les alentours. Ensuite, il s'assure que les propriétaires respectent une routine. C'est pourquoi il « livre » par exemple le vendredi soir des circulaires. Le dimanche, il vérifie qu'ils sont toujours à l'extérieur. Après quelques semaines, lorsqu'il est convaincu que les propriétaires sont régulièrement absents la même journée de la semaine, il s'introduit de nuit sur les lieux avec un complice. Une fois la sélection effectuée et les œuvres embarquées dans une camionnette, les deux attendent jusqu'au matin que la circulation automobile atteigne une certaine intensité avant de s'éloigner. En 2010, Pikethy serait . (fr)
  • Au Canada, comme dans plusieurs autres pays, il n'est pas illégal de peindre « à la manière de... » ou « dans le style de... ». Ces peintures peuvent être vendues même si , du moment qu'elles ne sont pas présentées comme des œuvres authentiques. (fr)
  • Le 4 septembre 1972, un homme masqué a sauté sur le toit du musée des beaux-arts de Montréal, qui est en réfection. Il tend ensuite une qui traîne près d'une verrière à deux complices. Les trois descendent dans le bâtiment en passant par une verrière. Après avoir capturé plusieurs gardiens, les trois hommes regroupent . En transportant leur butin dans une camionnette du musée, l'un des hommes déclenche accidentellement une alarme. Les bandits enfuis, les responsables dressent le bilan : disparus ainsi que anciens. Le prix de ces objets est évalué à CA$ de l'époque. En 2010, c'est encore le plus important vol d'œuvres d'art jamais accompli au Canada, et il n'est toujours pas résolu. (fr)
  • Tamas Pikethy est amateur d'art : non seulement il a suivi des cours universitaires dans le domaine, mais en prison il est . Pour découvrir les œuvres d'art les plus précieuses des riches propriétaires de Westmount et d'Outremont, deux quartiers de Montréal, il travaille pour le compte d'un traiteur et profite des visites libres des résidences mises en vente. Il se fait également passer pour un camelot qui livre des circulaires publicitaires. Circulant de soir et habillé de tissus sombres, il peut facilement observer l'intérieur éclairé des résidences depuis les alentours. Ensuite, il s'assure que les propriétaires respectent une routine. C'est pourquoi il « livre » par exemple le vendredi soir des circulaires. Le dimanche, il vérifie qu'ils sont toujours à l'extérieur. Après quelques semaines, lorsqu'il est convaincu que les propriétaires sont régulièrement absents la même journée de la semaine, il s'introduit de nuit sur les lieux avec un complice. Une fois la sélection effectuée et les œuvres embarquées dans une camionnette, les deux attendent jusqu'au matin que la circulation automobile atteigne une certaine intensité avant de s'éloigner. En 2010, Pikethy serait . (fr)
  • Au Canada, comme dans plusieurs autres pays, il n'est pas illégal de peindre « à la manière de... » ou « dans le style de... ». Ces peintures peuvent être vendues même si , du moment qu'elles ne sont pas présentées comme des œuvres authentiques. (fr)
  • Le 4 septembre 1972, un homme masqué a sauté sur le toit du musée des beaux-arts de Montréal, qui est en réfection. Il tend ensuite une qui traîne près d'une verrière à deux complices. Les trois descendent dans le bâtiment en passant par une verrière. Après avoir capturé plusieurs gardiens, les trois hommes regroupent . En transportant leur butin dans une camionnette du musée, l'un des hommes déclenche accidentellement une alarme. Les bandits enfuis, les responsables dressent le bilan : disparus ainsi que anciens. Le prix de ces objets est évalué à CA$ de l'époque. En 2010, c'est encore le plus important vol d'œuvres d'art jamais accompli au Canada, et il n'est toujours pas résolu. (fr)
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  • Sylvain (fr)
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  • Alain Lacoursière. Le Columbo de l'art (fr)
  • Un important vol non résolu (fr)
  • Un voleur cultivé et soigneux (fr)
  • « À la manière de » (fr)
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  • Alain Lacoursière (17 avril 1960 à Saint-Casimir, Québec, Canada) est un policier canadien (québécois) qui s'est spécialisé dans les « crimes liés à l'art » au Canada. Il est surnommé « le Columbo de l'art », car il utilise des méthodes inhabituelles pour résoudre certaines affaires criminelles, dont le recours aux médias. Son insubordination régulière et son intérêt affirmé pour l'art, tous deux peu communs parmi les policiers, lui ont valu d'être régulièrement traité en paria par ses collègues, même s'il a connu un succès notable dans ses enquêtes. Il a pris sa retraite de la police en 2010 et continue à s'intéresser aux œuvres d'art. (fr)
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