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- Tout au long de l’histoire de l'architecture apparaissent des bâtiments contenant certains phénomènes acoustiques particuliers ou remarquables, souvent étonnants et parfois même spectaculaires. Les sons s’y comportent chaque fois de manière inhabituelle. Diverses configurations ou techniques sont à l’origine de ces phénomènes. Volonté ou hasard ? Les édifices dans lesquels on rencontre ces phénomènes sont-ils des réalisations résultant d’un intérêt local et momentané pour certaines préoccupations auditives, ou encore des points nous permettant de retracer une préoccupation acoustique constante s’étendant sur une très vaste période, ou au contraire, les effets rencontrés ne sont-ils que fortuits et ne résultant que du seul hasard ? Certaines idées et pratiques acoustiques s’étendent dans l’espace et dans le temps, se perdant parfois puis réapparaissant de plus belle après un long temps mort. C’est le cas des résonateurs, employés par les Grecs et les Romains dans leur théâtres et qu’on retrouve mille ans plus tard, dans toute l’Europe cette fois et principalement dans les églises romanes, depuis la Scandinavie jusqu’en Yougoslavie, de la Bretagne jusqu’à Moscou. Certains phénomènes sont le résultat inhérent à la construction et à la forme géométrique du bâtiment qui les contient. C’est l’exemple des qui, selon l’acousticien américain (en), ont toutes été conçues sans volonté acoustique particulière. Autre cas, résultant apparemment aussi de la construction seule, est la propagation des ondes sous une voûte elliptique, permettant à une personne de converser à distance et en secret, en chuchotant avec une autre personne placée à proximité du foyer opposé. On relèvera encore certains bâtiments contenant des effets d’échos multiples et pas mal d’autres renfermant une réverbération assez importante. Étude de ces différentes caractéristiques cas par cas. (fr)
- Tout au long de l’histoire de l'architecture apparaissent des bâtiments contenant certains phénomènes acoustiques particuliers ou remarquables, souvent étonnants et parfois même spectaculaires. Les sons s’y comportent chaque fois de manière inhabituelle. Diverses configurations ou techniques sont à l’origine de ces phénomènes. Volonté ou hasard ? Les édifices dans lesquels on rencontre ces phénomènes sont-ils des réalisations résultant d’un intérêt local et momentané pour certaines préoccupations auditives, ou encore des points nous permettant de retracer une préoccupation acoustique constante s’étendant sur une très vaste période, ou au contraire, les effets rencontrés ne sont-ils que fortuits et ne résultant que du seul hasard ? Certaines idées et pratiques acoustiques s’étendent dans l’espace et dans le temps, se perdant parfois puis réapparaissant de plus belle après un long temps mort. C’est le cas des résonateurs, employés par les Grecs et les Romains dans leur théâtres et qu’on retrouve mille ans plus tard, dans toute l’Europe cette fois et principalement dans les églises romanes, depuis la Scandinavie jusqu’en Yougoslavie, de la Bretagne jusqu’à Moscou. Certains phénomènes sont le résultat inhérent à la construction et à la forme géométrique du bâtiment qui les contient. C’est l’exemple des qui, selon l’acousticien américain (en), ont toutes été conçues sans volonté acoustique particulière. Autre cas, résultant apparemment aussi de la construction seule, est la propagation des ondes sous une voûte elliptique, permettant à une personne de converser à distance et en secret, en chuchotant avec une autre personne placée à proximité du foyer opposé. On relèvera encore certains bâtiments contenant des effets d’échos multiples et pas mal d’autres renfermant une réverbération assez importante. Étude de ces différentes caractéristiques cas par cas. (fr)
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