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- Le token ring ou anneau à jeton est une topologie de réseau associée à un protocole de réseau local qui fonctionne sur la couche « liaison » du modèle OSI. Le protocole utilise une trame spéciale de trois octets, appelée jeton, qui circule dans une seule direction autour d'un anneau. Les trames token ring parcourent l'anneau dans un sens qui est toujours le même. Le paradigme est celui du « rond-point », qui se montre généralement capable d'écouler un débit plus grand qu'un « carrefour », toutes choses égales par ailleurs. De plus le fait d'éviter le temps perdu en « collisions » dans le CSMA/CD (où il pouvait en cas de congestion représenter 1-1/e=63,2 % de la bande passante !) devait rendre le token-ring 16 Mbit/s cinq fois plus rapide que l'Ethernet (10 Mbit/s à l'époque) ; considération importante pour la sauvegarde nocturne des stations de travail. En contrepartie, on créait des contraintes topologiques : l'Ethernet est concevable sur n'importe quel support, y compris par radio ou en théorie par infrarouge sur un plafond blanc ; le token-ring ne peut fonctionner que sur une « boucle ».Note : La première version de token-ring permettait d'atteindre 4 Mbit/s. Une boucle typique de token ring pouvait faire 6 km. Cette technologie a permis à IBM de résister à la concurrence de nouveaux constructeurs développant une informatique décentralisée. Le « jeton » matérialise le « droit de transmettre ». Chaque station le passe (le « répète ») sur l'anneau, à la station qui lui a été prédéfinie station suivante. Une station désirant transmettre le garde le temps nécessaire à transmettre une trame, puis envoie le jeton à la suite de cette trame pour indiquer que la voie est libre. Si une station tombe en panne, une interaction se fait afin de bloquer l'accès au jeton pour la station qui est en panne. Les LAN token ring utilisent habituellement le codage différentiel de Manchester des bits sur le médium. Un anneau de token ring était limité à 250 stations (et non 256), non pour des questions de numérotation binaire, mais en raison de considérations liées à la fréquence de transmission. (fr)
- Le token ring ou anneau à jeton est une topologie de réseau associée à un protocole de réseau local qui fonctionne sur la couche « liaison » du modèle OSI. Le protocole utilise une trame spéciale de trois octets, appelée jeton, qui circule dans une seule direction autour d'un anneau. Les trames token ring parcourent l'anneau dans un sens qui est toujours le même. Le paradigme est celui du « rond-point », qui se montre généralement capable d'écouler un débit plus grand qu'un « carrefour », toutes choses égales par ailleurs. De plus le fait d'éviter le temps perdu en « collisions » dans le CSMA/CD (où il pouvait en cas de congestion représenter 1-1/e=63,2 % de la bande passante !) devait rendre le token-ring 16 Mbit/s cinq fois plus rapide que l'Ethernet (10 Mbit/s à l'époque) ; considération importante pour la sauvegarde nocturne des stations de travail. En contrepartie, on créait des contraintes topologiques : l'Ethernet est concevable sur n'importe quel support, y compris par radio ou en théorie par infrarouge sur un plafond blanc ; le token-ring ne peut fonctionner que sur une « boucle ».Note : La première version de token-ring permettait d'atteindre 4 Mbit/s. Une boucle typique de token ring pouvait faire 6 km. Cette technologie a permis à IBM de résister à la concurrence de nouveaux constructeurs développant une informatique décentralisée. Le « jeton » matérialise le « droit de transmettre ». Chaque station le passe (le « répète ») sur l'anneau, à la station qui lui a été prédéfinie station suivante. Une station désirant transmettre le garde le temps nécessaire à transmettre une trame, puis envoie le jeton à la suite de cette trame pour indiquer que la voie est libre. Si une station tombe en panne, une interaction se fait afin de bloquer l'accès au jeton pour la station qui est en panne. Les LAN token ring utilisent habituellement le codage différentiel de Manchester des bits sur le médium. Un anneau de token ring était limité à 250 stations (et non 256), non pour des questions de numérotation binaire, mais en raison de considérations liées à la fréquence de transmission. (fr)
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