Le Terzetto en ut majeur pour deux violons et alto, opus 74, B.148, composé du 7 au 14 janvier 1887 par Antonín Dvořák pour faire plaisir à deux de ses amis, s’inscrit dans la droite ligne des sommets de la musique de chambre du compositeur tchèque. Ce dernier tenait lui-même la partie d’alto (comme Mozart jadis) ; et Pierre-Emmanuel Barbier parle, à propos des violons que l’alto accompagne parfois « comme la main gauche d’un clavier imaginaire », d’un « ravissement que les amateurs n’avaient pas éprouvé depuis les duos de Haydn et de Mozart ». Dans le scherzo central, un subtil échange de nuances évoque l’ombre de Schubert. L'œuvre a été créée par Jan Buchal, juriste, Jaroslav Stastny, docteur en médecine, et à l'alto, Dvořák en personne.

Property Value
dbo:abstract
  • Le Terzetto en ut majeur pour deux violons et alto, opus 74, B.148, composé du 7 au 14 janvier 1887 par Antonín Dvořák pour faire plaisir à deux de ses amis, s’inscrit dans la droite ligne des sommets de la musique de chambre du compositeur tchèque. Ce dernier tenait lui-même la partie d’alto (comme Mozart jadis) ; et Pierre-Emmanuel Barbier parle, à propos des violons que l’alto accompagne parfois « comme la main gauche d’un clavier imaginaire », d’un « ravissement que les amateurs n’avaient pas éprouvé depuis les duos de Haydn et de Mozart ». Dans le scherzo central, un subtil échange de nuances évoque l’ombre de Schubert. L'œuvre a été créée par Jan Buchal, juriste, Jaroslav Stastny, docteur en médecine, et à l'alto, Dvořák en personne. (fr)
  • Le Terzetto en ut majeur pour deux violons et alto, opus 74, B.148, composé du 7 au 14 janvier 1887 par Antonín Dvořák pour faire plaisir à deux de ses amis, s’inscrit dans la droite ligne des sommets de la musique de chambre du compositeur tchèque. Ce dernier tenait lui-même la partie d’alto (comme Mozart jadis) ; et Pierre-Emmanuel Barbier parle, à propos des violons que l’alto accompagne parfois « comme la main gauche d’un clavier imaginaire », d’un « ravissement que les amateurs n’avaient pas éprouvé depuis les duos de Haydn et de Mozart ». Dans le scherzo central, un subtil échange de nuances évoque l’ombre de Schubert. L'œuvre a été créée par Jan Buchal, juriste, Jaroslav Stastny, docteur en médecine, et à l'alto, Dvořák en personne. (fr)
dbo:composer
dbo:wikiPageExternalLink
dbo:wikiPageID
  • 908913 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 2111 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 178835071 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:année
  • 1998 (xsd:integer)
prop-fr:annéePremièreÉdition
  • 1989 (xsd:integer)
prop-fr:collection
  • Les indispensables de la musique (fr)
  • Les indispensables de la musique (fr)
prop-fr:isbn
  • 2 (xsd:integer)
prop-fr:langue
  • fr (fr)
  • fr (fr)
prop-fr:lieu
  • Paris (fr)
  • Paris (fr)
prop-fr:nom
  • Tranchefort (fr)
  • Tranchefort (fr)
prop-fr:pagesTotales
  • 995 (xsd:integer)
prop-fr:passage
  • 291 (xsd:integer)
prop-fr:prénom
  • François-René (fr)
  • François-René (fr)
prop-fr:titre
  • Guide de la musique de chambre (fr)
  • Guide de la musique de chambre (fr)
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
prop-fr:éditeur
dct:subject
rdf:type
rdfs:comment
  • Le Terzetto en ut majeur pour deux violons et alto, opus 74, B.148, composé du 7 au 14 janvier 1887 par Antonín Dvořák pour faire plaisir à deux de ses amis, s’inscrit dans la droite ligne des sommets de la musique de chambre du compositeur tchèque. Ce dernier tenait lui-même la partie d’alto (comme Mozart jadis) ; et Pierre-Emmanuel Barbier parle, à propos des violons que l’alto accompagne parfois « comme la main gauche d’un clavier imaginaire », d’un « ravissement que les amateurs n’avaient pas éprouvé depuis les duos de Haydn et de Mozart ». Dans le scherzo central, un subtil échange de nuances évoque l’ombre de Schubert. L'œuvre a été créée par Jan Buchal, juriste, Jaroslav Stastny, docteur en médecine, et à l'alto, Dvořák en personne. (fr)
  • Le Terzetto en ut majeur pour deux violons et alto, opus 74, B.148, composé du 7 au 14 janvier 1887 par Antonín Dvořák pour faire plaisir à deux de ses amis, s’inscrit dans la droite ligne des sommets de la musique de chambre du compositeur tchèque. Ce dernier tenait lui-même la partie d’alto (comme Mozart jadis) ; et Pierre-Emmanuel Barbier parle, à propos des violons que l’alto accompagne parfois « comme la main gauche d’un clavier imaginaire », d’un « ravissement que les amateurs n’avaient pas éprouvé depuis les duos de Haydn et de Mozart ». Dans le scherzo central, un subtil échange de nuances évoque l’ombre de Schubert. L'œuvre a été créée par Jan Buchal, juriste, Jaroslav Stastny, docteur en médecine, et à l'alto, Dvořák en personne. (fr)
rdfs:label
  • Terzett C-Dur op. 74 (Dvořák) (de)
  • Terzetto pour deux violons et alto (fr)
  • Trio voor 2 violen en altviool (nl)
  • Terzett C-Dur op. 74 (Dvořák) (de)
  • Terzetto pour deux violons et alto (fr)
  • Trio voor 2 violen en altviool (nl)
rdfs:seeAlso
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageRedirects of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of