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- La pratique religieuse en France est autorisée par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, tant que sa « manifestation ne trouble pas l’ordre public ». Sa pratique est suivie par le Bureau central des cultes, créé par la loi de séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905 qui a fait de la France un État laïc. Depuis cette séparation, la République française n'a donc plus de religion d'État ni de religion officielle. La France ne dispose pas de statistiques officielles permettant de comparer les chiffres de chacune des communautés religieuses. Les estimations qui doivent se fonder sur les enquêtes d'opinion représentatives restent relativement incertaines. . Parmi les Français de 18 à 50 ans, il y aurait, en 2016, environ 38 millions se disant chrétiens catholiques (religion majoritaire), de 2,1 millions se disant musulmans, environ 500 000 chrétiens se disant protestants, environ 150 000 se disant bouddhistes et environ 125 000 se disant juifs. Cependant dans l'ensemble le taux de pratique religieuse y est relativement faible. Alors qu'en 2020, 62 % de la population française est baptisée[réf. nécessaire], le pays compte parmi les moins « religieux » au monde et les plus athées (plusieurs sondages estiment que 40 % des Français se considèrent comme athées, ce qui place la France à la quatrième place mondiale sur ce critère, et que la part de Français ne s'identifiant à aucune religion s'établit à près de 70 %). Malgré le statut des religions en France, des organismes officiels ont été mis en place à partir de 1996 pour analyser et proposer des moyens de lutter contre le phénomène des sectes, cette mission étant assurée depuis 2002 par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). (fr)
- La pratique religieuse en France est autorisée par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, tant que sa « manifestation ne trouble pas l’ordre public ». Sa pratique est suivie par le Bureau central des cultes, créé par la loi de séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905 qui a fait de la France un État laïc. Depuis cette séparation, la République française n'a donc plus de religion d'État ni de religion officielle. La France ne dispose pas de statistiques officielles permettant de comparer les chiffres de chacune des communautés religieuses. Les estimations qui doivent se fonder sur les enquêtes d'opinion représentatives restent relativement incertaines. . Parmi les Français de 18 à 50 ans, il y aurait, en 2016, environ 38 millions se disant chrétiens catholiques (religion majoritaire), de 2,1 millions se disant musulmans, environ 500 000 chrétiens se disant protestants, environ 150 000 se disant bouddhistes et environ 125 000 se disant juifs. Cependant dans l'ensemble le taux de pratique religieuse y est relativement faible. Alors qu'en 2020, 62 % de la population française est baptisée[réf. nécessaire], le pays compte parmi les moins « religieux » au monde et les plus athées (plusieurs sondages estiment que 40 % des Français se considèrent comme athées, ce qui place la France à la quatrième place mondiale sur ce critère, et que la part de Français ne s'identifiant à aucune religion s'établit à près de 70 %). Malgré le statut des religions en France, des organismes officiels ont été mis en place à partir de 1996 pour analyser et proposer des moyens de lutter contre le phénomène des sectes, cette mission étant assurée depuis 2002 par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). (fr)
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- La pratique religieuse en France est autorisée par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, tant que sa « manifestation ne trouble pas l’ordre public ». Sa pratique est suivie par le Bureau central des cultes, créé par la loi de séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905 qui a fait de la France un État laïc. Depuis cette séparation, la République française n'a donc plus de religion d'État ni de religion officielle. (fr)
- La pratique religieuse en France est autorisée par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, tant que sa « manifestation ne trouble pas l’ordre public ». Sa pratique est suivie par le Bureau central des cultes, créé par la loi de séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905 qui a fait de la France un État laïc. Depuis cette séparation, la République française n'a donc plus de religion d'État ni de religion officielle. (fr)
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