dbo:abstract
|
- Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus du folklore britannique. Ils y sont décrits comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire.Il existe une version plus nuancée, présentée par Jacques Ier d'Angleterre dans son traité de démonologie, publié à Londres en 1597. Il parle ainsi d'un « homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais [se] comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous. » Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret. Édouard Brasey prétend que le boggart serait dans l'imaginaire anglais le cousin dégénéré du brownie, un esprit servant britannique.En effet, il existe des légendes où le boggart est décrit comme un esprit domestique attaché à une famille, mais à la différence de ses « cousins », il ne rend aucun service et joue des tours aux habitants, allant jusqu'à les voler.Il peut suivre sa famille où qu'elle aille, dans le but de la harceler.On suspendait parfois un fer à cheval devant les portes des maisons pour éloigner les boggarts.Dans le folklore du nord-ouest de l'Angleterre, les boggarts vivent sous les ponts, et cela porte malheur de ne pas les saluer si on les croise. (fr)
- Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus du folklore britannique. Ils y sont décrits comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire.Il existe une version plus nuancée, présentée par Jacques Ier d'Angleterre dans son traité de démonologie, publié à Londres en 1597. Il parle ainsi d'un « homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais [se] comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous. » Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret. Édouard Brasey prétend que le boggart serait dans l'imaginaire anglais le cousin dégénéré du brownie, un esprit servant britannique.En effet, il existe des légendes où le boggart est décrit comme un esprit domestique attaché à une famille, mais à la différence de ses « cousins », il ne rend aucun service et joue des tours aux habitants, allant jusqu'à les voler.Il peut suivre sa famille où qu'elle aille, dans le but de la harceler.On suspendait parfois un fer à cheval devant les portes des maisons pour éloigner les boggarts.Dans le folklore du nord-ouest de l'Angleterre, les boggarts vivent sous les ponts, et cela porte malheur de ne pas les saluer si on les croise. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus du folklore britannique. Ils y sont décrits comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire.Il existe une version plus nuancée, présentée par Jacques Ier d'Angleterre dans son traité de démonologie, publié à Londres en 1597. Il parle ainsi d'un « homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais [se] comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous. » Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret. (fr)
- Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus du folklore britannique. Ils y sont décrits comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire.Il existe une version plus nuancée, présentée par Jacques Ier d'Angleterre dans son traité de démonologie, publié à Londres en 1597. Il parle ainsi d'un « homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais [se] comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous. » Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret. (fr)
|