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- L'attaque chimique de Khan Cheikhoun, parfois désignée comme le massacre de Khan Cheikhoun, est une attaque à l'arme chimique perpétrée par le régime de Bachar el-Assad le 4 avril 2017, au cours de la guerre civile syrienne. L'attaque est menée par l'aviation des Forces armées syriennes sur la ville de Khan Cheikhoun, tenue par les forces rebelles alors engagées dans une offensive au nord de Hama. Le gaz utilisé, du sarin possiblement mélangé avec du chlore, provoque la mort de 100 à 200 civils et fait environ 500 blessés. Cette attaque constitue une infraction à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques dont la Syrie est signataire et entraîne de vives réactions sur la scène internationale. Plusieurs pays, comme les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Turquie accusent aussitôt le régime syrien de Bachar el-Assad d'être l'auteur du massacre. Trois jours après, les États-Unis réagissent en bombardant la base aérienne d'Al-Chaayrate. Le régime syrien a nié sa responsabilité dans le massacre ; la Russie, allié de Damas, a pour sa part affirmé que la tuerie a été causée par le bombardement d'un avion syrien sur un entrepôt d'armes chimiques tenu par les rebelles. Cependant, après enquêtes, la responsabilité du gouvernement syrien est confirmée en septembre 2017 par la commission d'enquête des Nations unies sur la situation des droits de l'homme en Syrie, puis en octobre par le Joint Investigative Mechanism (JIM), la commission d'enquête conjointe de l'ONU et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). (fr)
- L'attaque chimique de Khan Cheikhoun, parfois désignée comme le massacre de Khan Cheikhoun, est une attaque à l'arme chimique perpétrée par le régime de Bachar el-Assad le 4 avril 2017, au cours de la guerre civile syrienne. L'attaque est menée par l'aviation des Forces armées syriennes sur la ville de Khan Cheikhoun, tenue par les forces rebelles alors engagées dans une offensive au nord de Hama. Le gaz utilisé, du sarin possiblement mélangé avec du chlore, provoque la mort de 100 à 200 civils et fait environ 500 blessés. Cette attaque constitue une infraction à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques dont la Syrie est signataire et entraîne de vives réactions sur la scène internationale. Plusieurs pays, comme les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Turquie accusent aussitôt le régime syrien de Bachar el-Assad d'être l'auteur du massacre. Trois jours après, les États-Unis réagissent en bombardant la base aérienne d'Al-Chaayrate. Le régime syrien a nié sa responsabilité dans le massacre ; la Russie, allié de Damas, a pour sa part affirmé que la tuerie a été causée par le bombardement d'un avion syrien sur un entrepôt d'armes chimiques tenu par les rebelles. Cependant, après enquêtes, la responsabilité du gouvernement syrien est confirmée en septembre 2017 par la commission d'enquête des Nations unies sur la situation des droits de l'homme en Syrie, puis en octobre par le Joint Investigative Mechanism (JIM), la commission d'enquête conjointe de l'ONU et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). (fr)
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- L'attaque chimique de Khan Cheikhoun, parfois désignée comme le massacre de Khan Cheikhoun, est une attaque à l'arme chimique perpétrée par le régime de Bachar el-Assad le 4 avril 2017, au cours de la guerre civile syrienne. L'attaque est menée par l'aviation des Forces armées syriennes sur la ville de Khan Cheikhoun, tenue par les forces rebelles alors engagées dans une offensive au nord de Hama. Le gaz utilisé, du sarin possiblement mélangé avec du chlore, provoque la mort de 100 à 200 civils et fait environ 500 blessés. (fr)
- L'attaque chimique de Khan Cheikhoun, parfois désignée comme le massacre de Khan Cheikhoun, est une attaque à l'arme chimique perpétrée par le régime de Bachar el-Assad le 4 avril 2017, au cours de la guerre civile syrienne. L'attaque est menée par l'aviation des Forces armées syriennes sur la ville de Khan Cheikhoun, tenue par les forces rebelles alors engagées dans une offensive au nord de Hama. Le gaz utilisé, du sarin possiblement mélangé avec du chlore, provoque la mort de 100 à 200 civils et fait environ 500 blessés. (fr)
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