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- Anna Livia Plurabelle est une œuvre d'André Hodeir pour orchestre de jazz et deux voix de femmes, écrite en 1965-1966, sur un extrait du roman de James Joyce Finnegans Wake. L'œuvre est d'une durée approximative de 53 minutes. Initialement écrite comme une œuvre radiophonique pour le Prix Italia, elle a plus tard donné naissance à un disque 33 tours, plusieurs fois réédité. Devenue rare voire introuvable, l'œuvre est redevenue accessible grâce notamment à Patrice Caratini, sous la direction duquel elle fut réenregistrée en disque compact, au début des années 1990. La version originale radiophonique, en revanche, n'a jamais été publiée. Elle diffère des versions connues par le disque en ce qu'elle est bilingue, le premier tiers de l'œuvre étant en français. Anna Livia Plurabelle sera suivi d'un second volet joycien, puisqu'André Hodeir écrira en 1972 une autre œuvre vocale, sur le monologue final de Finnegans Wake, intitulée Bitter Ending. Si les deux œuvres sont parfois considérées comme constituant le diptyque joycien d'André Hodeir, elles forment néanmoins deux pièces distinctes et sont très différentes par leur effectif, Bitter Ending ayant été écrit pour un groupe de huit vocalistes (les Swingle Singers) et un quintette de jazz (trompette, saxophones alto et ténor, contrebasse et batterie), alors qu'Anna Livia Plurabelle est une œuvre pour orchestre de 23 musiciens et deux chanteuses solistes. (fr)
- Anna Livia Plurabelle est une œuvre d'André Hodeir pour orchestre de jazz et deux voix de femmes, écrite en 1965-1966, sur un extrait du roman de James Joyce Finnegans Wake. L'œuvre est d'une durée approximative de 53 minutes. Initialement écrite comme une œuvre radiophonique pour le Prix Italia, elle a plus tard donné naissance à un disque 33 tours, plusieurs fois réédité. Devenue rare voire introuvable, l'œuvre est redevenue accessible grâce notamment à Patrice Caratini, sous la direction duquel elle fut réenregistrée en disque compact, au début des années 1990. La version originale radiophonique, en revanche, n'a jamais été publiée. Elle diffère des versions connues par le disque en ce qu'elle est bilingue, le premier tiers de l'œuvre étant en français. Anna Livia Plurabelle sera suivi d'un second volet joycien, puisqu'André Hodeir écrira en 1972 une autre œuvre vocale, sur le monologue final de Finnegans Wake, intitulée Bitter Ending. Si les deux œuvres sont parfois considérées comme constituant le diptyque joycien d'André Hodeir, elles forment néanmoins deux pièces distinctes et sont très différentes par leur effectif, Bitter Ending ayant été écrit pour un groupe de huit vocalistes (les Swingle Singers) et un quintette de jazz (trompette, saxophones alto et ténor, contrebasse et batterie), alors qu'Anna Livia Plurabelle est une œuvre pour orchestre de 23 musiciens et deux chanteuses solistes. (fr)
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