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| - Texte support 2 Mon isolement était total; seules mes initiatives, tapaßeysesm'ouvraient de temps entemps, l'univers des hemmes. l'en étais venu à me contenter de peu; a mes heures d'effondremen, le quetais une insultes une claque, un coup de pied. N'importe quoi Quand nul ne daignait m'adresser la parole, je retouhais à mon gite, seul, cruellement déçu. Jusqu'au matin où se présenta à ma porte un chat famélique et las, comme moi, Nos yeux se croisèrent. Je détournai les miens. Comme moi, ce chat puait ta saleté er la maladie; il n'avait probablement pas de maitre : dans mon pays, les chats n'en of point. Je ramenai mon regard dans la direction de l'animal. Celui-ci avait disparu; je courus le rattrapi Je le pris par la peau du coup. Il pédalait mollement. Je lui proposai une branche tiède (fr)
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