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  • Celtic Tiger (Michael Flatley’s Celtic Tiger) est un spectacle irlandais, composé de danses, de chants et de musiques celtiques. Il a été créé par le danseur Michael Flatley. (fr)
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  • La nostalgie est laissée de côté et le pouvoir brut des violons est libéré dans le prochain numéro, tandis que l’esprit du Tigre Celtique renaît dans une nouvelle ère. La musique suit la structure traditionnelle d’un quadrille, mais la chorégraphie n’a rien de traditionnel. Les yeux rouges du tigre brillent à nouveau sur l’écran tandis qu’au même moment, des danseurs et danseuses vêtus de costumes aux imprimés rappelant le pelage du tigre, surgissent sur scène dans une explosion d’énergie. Comme le suggère le titre, il s’agit de la nouvelle génération prête à explorer ce nouveau monde plein de promesses : là où les générations antérieures ont dû traverser les océans pour profiter des opportunités ou pour surmonter des obstacles, la nouvelle génération ne se retrouve pas confronter à ce choix désespéré. (fr)
  • Ici, les danseurs portent des costumes de fleurs, de papillons, d’abeilles et d’autres animaux que l’on peut trouver dans les prairies ou les champs. Malgré son titre qui fait référence à la Bible, il s’agit d’un numéro classique, une vue romancée et idéalisée d’un monde en parfaite harmonie. (fr)
  • The British Grenadier est joué à la flûte tandis que les danseurs, une troupe de soldats britanniques, entrent en scène en uniforme rouge. Leur danse est brusque, précise, techniquement parfaite. Les visages sont neutres, ne montrent aucune émotion et leur posture est rigide et déterminée. L’intrusion anglaise en Irlande a commencé en 1169, bien avant l’époque représentée par les manteaux rouges et les perruques des soldats. Depuis l’Amérique coloniale jusqu’à l’Inde du Raj, les soldats britanniques ont représenté la brutalité, l’arrogance et le racisme. (fr)
  • Sur l’écran, on découvre une séquence faisant défiler les drapeaux des différents pays dont les émigrés ont pris le chemin des États-Unis. Le drapeau irlandais termine cette séquence. Durant cette séquence, quatre danseurs traversent la scène avec d’énormes drapeaux. Ils ne représentent pas de nations, pas même le drapeau américain; ce sont des drapeaux blancs, symboles de la page blanche sur laquelle le futur reste à écrire. C’est ensuite dans la danse que sont représentés tous les continents : salsa argentine, ballet classique, flamenco, hip-hop, puis danse irlandaise, à laquelle toute la troupe prend part. Ce numéro célèbre la diversité culturelle et artistique. Tout au long de la démonstration de ces différents styles de danse progresse, chacun garde sa propre identité, mais fournit un soutien et encourage l’autre. (fr)
  • Durant cet interlude, la troupe se lance dans un numéro de rock alors que les images présentées à l’écran retracent le voyage du peuple irlandais, des luttes menées dans le passé aux accomplissements du présent. Débutant avec des photos en noir et blanc de la famine, et à travers un montage de personnages littéraires, politiques, culturels et sportifs, irlandais et américano-irlandais, la séquence célèbre les États-Unis en tant que pays ayant accueilli la population irlandaise en leur offrant un nouveau départ. À la fin de la séquence, l’écran montre une fusée quittant la Terre et des astronautes sur la lune. La fin de ce numéro soulève une ambiguïté. A quelles couleurs se réfèrent le titre ? L’image finale est celle du drapeau tricolore irlandais. (fr)
  • C’est dans le noir que les premiers pas se font entendre. Le rythme est tellement rapide et si précis qu’il est impossible de deviner le nombre de danseurs présents sur scène. Ceci est une technique développée il y a quelques années par Michael Flatley qui permet de ne se concentrer que sur le son. Les projecteurs éclairent peu à peu à la scène et il est alors possible de distinguer la troupe de danseurs, en costumes de guerriers romains, Michael Flatley en tête. Cette armée de guerriers n’est pas seulement composée d’hommes mais aussi de femmes, à la différence des spectacles précédents. (fr)
  • Ce numéro met en scène des danseurs vêtus de costumes largement inspirés des Dallas Cowboy Cheerleaders’, dont les pas de danse rappellent les figures acrobatiques des cheerleader et des éléments inspirés des styles de danse du folklore américain. La musique reprend des éléments communs aux styles instrumentaux du folklore irlandais et à la musique country des États-Unis. (fr)
  • Le spectacle revient aux États-Unis pour reprendre l’exploration des styles musicaux, ici le jazz. Le style est la clé. Le numéro tire son style visuel des images du Chicago des années 20. L’écran géant prend une couleur rouge écarlate, et la silhouette de Michael apparait, rappelant l’ombre qui annonçait son entrée en scène dans Lord of the Dance. L’image sur l’écran commence à danser. Au même moment, l’immense image affichée à l’écran laisse place au solo de Michael, ponctué d’effets pyrotechniques impressionnants qui accompagnent une prestation à la complexité sans précédent. Le solo laisse place à la performance mêlant musique et dance jazz du groupe de danseuses, qui exécutent des gestes à la fois sexy et précis. Derrière elles, une série d’images urbaines très lumineuses, un contraste évident avec le calme de la champagne irlandaise de l’acte 1. (fr)
  • Une voix se fait entendre, la voix de Michael lisant les premières lignes de l’Insurrection de Pâques. La lumière des projecteurs s’intensifie pour laisser apparaître Michael, seul face à un cercle d’opposants. C’est dans ce numéro qu’il interprète son premier véritable solo de danse du spectacle : une série d’échanges individuels et agressifs avec les soldats britanniques. Les expressions faciales et le langage corporel de Michael sont tellement intenses que l’on peut ressentir sa colère. Dans le spectacle, le tournant vient lorsqu’un échange violent ultime fait apparaître un éclair sur le grand écran. Michael brise le cercle, et s’avançant sur la scène, il s’empare d’un tambourin. La musique reprend avec The Rising of the Moon, l’un des appels aux armes les plus connus du répertoire folk irlandais. Après cet instant de solo, le spectacle reprend une forme plus habituelle : plutôt que de mener la troupe de danseurs dans la bataille, Michael sort de scène pour laisser place au numéro suivant. (fr)
  • Des avions traversent l’écran tandis qu’une hôtesse de l’air prend place sur scène et exécute quelques pas de danse malgré la hauteur impressionnante de ses chaussures à talons. Ses pas de danse sont modérés, voire maladroits. Derrière elle, les portes d’un hangar aéronautique s’ouvrent, la musique change complètement pour devenir plus rock. Un groupe de pilotes, mené par Michael et habillés d’un uniforme bleu ajusté et de lunettes teintées, apparait. L’écran géant montre des images d’Ellis Island et de la statue de la liberté, tandis qu’au même moment, les danseurs portent la jeune femme à bout de bras, comme si elle survolait l’océan. Après l’avoir reposé à terre, un moment de tension se fait sentir. Des flammes embrasent le grand écran et la musique change brutalement. Ce numéro a été très controversé, en particulier par le public américain. Pourtant ce n’est pas la première fois que Michael Flatley met en avant la sexualité dans la danse. Il s’agit pour lui d’une métaphore de la liberté personnelle. Le message n’est pas que la sexualité est le seul pouvoir qu’une femme détienne. Ce numéro donne le ton de cette seconde partie très « américaine » du spectacle. Les horizons apportés par le nouveau monde sont explorés au travers de la danse. (fr)
  • Chaque acte de Celtic Tiger possède une énergie, un thème historique et une signature musicale qui lui est propre. Chaque chanson est à la fois moderne et profondément ancrée dans les traditions anciennes. Jusqu’à présent, le spectacle se concentre sur le passé, tandis que défilent sur le grand écran des vues de la campagne irlandaise. Comme le spectacle lui-même, The Sleeping Tiger demande au spectateur de regarder vers le passé pour comprendre le présent. Paul Harrington, qui prête également sa voix pour l’Angelus de Saint Patrick, chante cette chanson dans la première partie de la tournée. C’est Brian McEnteggart, danseur, qui interprètera cette chanson par la suite. (fr)
  • La tradition veut que ce soit en 432 que Saint Patrick a repoussé les serpents d’Irlande et apporté le christianisme dans le pays. Dans ce numéro, les “serpents”, métaphore des croyances religieuses celtiques, sont représentés par des femmes confrontées à des moines. La foi chrétienne est incarnée par de jeunes danseurs habillés de robes blanches fluides. Captivés par la musique de l’Angelus, ils méprisent la tentation qui leur fait face. (fr)
  • Tout commence avec un son et un rythme. Le spectacle commence avec un battement de cœur : le premier son entendu avant même la naissance. Le son d’un battement de cœur a toujours été synonyme d’unité et de connexion. Une image accompagne le son, alors que les battements envahissent l’écran. Le battement s’accélère, une technique connue pour faire monter l’excitation, et c’est avec un rugissement que le spectacle prend vraiment forme. (fr)
  • Durant ce numéro, pendant que l’écran fait défiler des images de la campagne irlandaise, le ténor interprète, avec enthousiasme, Four Green Fields. Dans cette chanson, l’Irlande se lamente du sort des quatre anciens royaumes d’Irlande . Cette chanson, écrite par Tommy Makem en 1967, fait plus que pleurer les personnes emportées par la famine et la guerre, et la douleur d’une nation détruite. Il s’agit du seul numéro du spectacle qui se réfère aux Troubles de la fin du : Ulster, le “quatrième champ vert” est resté sous domination britannique après la formation de la République d’Irlande. Un joueur de football apparaît au centre de la scène. Le chanteur lui lance un ballon alors qu’il quitte la scène. (fr)
  • La séquence historique prend fin tandis que la troupe de musiciens apparait sur scène. Michael Flatley, à la flûte, enflamme la scène, faisant se mélanger musique traditionnelle et moderne. Celtic Tiger est différent des autres spectacles en ce sens que les interludes musicaux font partie intégrante du spectacle. (fr)
  • Le personnage de la banshee, esprit féminin tiré du folklore irlandais, plane au-dessus du champ où sont étendus les corps sans vie. Le personnage, interprété par Katie Pomfret, est ici représenté par une jeune femme à la longue chevelure dorée portant une robe blanche fluide. La ressemblance à un personnage angélique classique est trop évidente pour ne pas être intentionnelle. Il ne s’agit pas d’un ange ou d’un fantôme, mais plutôt d’un esprit de lamentation qui représente à la fois les pertes humaines survenues sur le champ de bataille et les pertes à venir. (fr)
  • La foule de Croke Park apparait sur l’écran derrière le footballeur, laissant ensuite place à l’image d’un char qui s’avance. La scène est brève : le canon se fait de plus en plus imposant et sombre derrière le jeune innocent. Il se retourne enfin pour voir ce qui approche derrière lui. La balle lui tombe des mains. L’explosion du canon provoque un choc dans le public qui, après avoir ri nerveusement, redevient silencieux. (fr)
  • Le numéro commence avec l’arrivée de l’hôtesse de l’air, maintenant habillée en bikini, qui feint de jouer “Yankee Doodle” au pipeau. Elle est d’abord suivie par les pilotes puis par la troupe, tandis qu’apparaissent sur l’écran des images d’icônes américaines. Ce numéro est la célébration d’un pays, d’une communauté, d’un héritage, et de l’espoir. Parmi tous les numéros du spectacle, c’est celui qui est le plus semblable au style et à la structure des œuvres précédentes de Michael. Le numéro se termine par le salut de la troupe. Le numéro sera évidemment bisser. C’est une pratique encore maintenue dans les spectacles de danse irlandaise ; elle est tirée des concerts rock. La danse irlandaise partage une autre caractéristique avec ce genre de performances musicales : l’approbation et le soutien du public. (fr)
  • Tandis que la troupe sort de scène, les musiciens y entrent pour entamer un medley de morceaux traditionnels. Le numéro est mené par les différents musiciens mais le guitariste s’offre une place de choix en exécutant un solo endiablé. Le son triomphant de la guitare emporte les musiciens dans une explosion d’énergie, dont le point culminant est le traditionnel Saint Patrick’s Day. Les danseurs habillés des costumes rappelant le tigre, reviennent sur scène suivis par le reste de la troupe, parfaitement alignée, et multipliée à l’infini sur le grand écran. Lorsque la chanson traditionnelle touche à sa fin, le tigre aux yeux rubis rugit à nouveau sur l’écran géant. (fr)
  • La dernière performance vocale, Forever Free, reprend le thème de la liberté. Comme les autres performances vocales, il ne s’agit pas d’une chanson folk traditionnelle. Composée par Ronan Hardiman, écrite par Frank Musker et interprétée par Uba Gibney, elle associe liberté personnelle et amour individuel. (fr)
  • Dans ce numéro, des femmes, portant des coiffures ailées, évoquent la beauté inhumaine et le danger de la mer. Sur l’écran géant, un océan gris agité rappelle le courage et la détermination qui furent nécessaires pour atteindre les côtes d’Irlande. Les danseurs masculins traversent la scène en bateau à l’aide d’une pagaie. Les femmes apparaissent ensuite et débutent le premier véritable numéro de danse irlandaise du spectacle. L’esprit des femmes irlandaises est imperturbable face aux envahisseurs. (fr)
  • Tout au long de la danse des soldats, les images sur l’écran restent inchangées, excepté un détail: derrière le cottage, les champs et collines d’Irlande deviennent rouges. Le potentiel dramatique des écrans prend alors tout son sens lorsque l’un des danseurs met le feu au cottage. La chorégraphie est libre, il n’y a pas de figures ou de pas imposés. Les danseurs, la plupart en couple ou en petits groupes, offrent des performances passionnées. Tout au long du numéro, les soldats regardent la scène sans bouger. Lorsque les danseurs les approchent pour demander de l’aide ou cherchent à s’évader, ils sont violemment repoussés. Michael Flatley, le dernier à sortir du cottage, est habillé comme un prêtre catholique, portant un chapelet et priant. On peut entendre cette phrase, tirée du « Notre Père » : ... as we forgive those who trespass against us; and deliver us from evil. Les soldats encerclent le prêtre et le tuent. Les lumières s’éteignent au moment où il tombe. (fr)
  • Après une pause, la guitare se fait entendre à nouveau, mais ne s’impose plus autant. Le numéro final est devenu complètement rock and roll. Les percussions prennent le dessus, mais il ne s’agit pas des percussions de la batterie mais de celles des pas des danseurs. Ce sont elles qui jouent le premier rôle et qui porte le numéro, offrant des thèmes et des variations, une complexité et une couleur. Dans ce dernier numéro, le son live de la danse fait partie intégrante de la musique. Ce ne sont pas les danseurs qui suivent la musique mais la musique qui accompagne la danse. Pour ce numéro final, hommes et femmes portent un smoking. Ce numéro développe les pas les plus complexes entendus jusqu’alors, dont le point culminant est la reprise de l’effet de décélération exécuté pour la première fois lors du numéro d’ouverture, toujours à l’unisson. Le spectacle se termine comme il a commencé, avec le son, le rythme des pieds frappant le sol. On entend et voit l’esprit du Tigre Celtique avançant à grands pas vers le futur, et chacun de ses pas est un pas de danse. (fr)
  • Derrière les danseurs, le bureau de poste apparaît désormais à l’écran, et les coups de feu et les explosions forment un fond sonore chaotique tandis que les irlandais font face aux britanniques. Les pas de danse, comme toujours, sont brusques et agressifs, les mouvements sont énergiques. Un nouveau stade d’énergie et de férocité a été atteint, mais à mesure que le numéro progresse, une autre impression émerge. La chorégraphie passe d’une confrontation de groupe stylisée à des combats en face-à-face. La lutte pour la liberté est désespérée plus que glorieuse, sans victoire explicite. Sur scène, alors que les explosions finales résonnent encore, les combattants des deux camps se confrontent une dernière fois, pour finir étendus sur le sol. (fr)
  • Même si la culture du nouveau monde a été adoptée, il reste une pointe de nostalgie. L’un des thèmes les plus communs dans le folklore irlandais est l’amour séparé. Ici, Michael donne à ce thème classique la forme d’un ballet « pas de deux ». Pour ce spectacle, Michael a pour la première fois fait appel à un assistant chorégraphe, Molly Molloy. Plutôt que de jouer lui-même le rôle de l’amoureux, Michael reste sur le côté et regarde un jeune couple, animé par la musique de la flûte, exécuter avec grâce ce pas de deux. Il les accompagne à la flûte traversière, dont la musique crée un monde magique où les amants reprennent vie, réunis dans la passion et le désir, mais uniquement durant le temps que dure cette musique. (fr)
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  • Celtic Tiger (Michael Flatley’s Celtic Tiger) est un spectacle irlandais, composé de danses, de chants et de musiques celtiques. Il a été créé par le danseur Michael Flatley. (fr)
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