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- Charles-Samuel-Martin Goupilleau, prêtre réfractaire, était pourtant le frère de Jean François Marie Goupilleau et cousin de Philippe Charles Aimé Goupilleau, tous deux révolutionnaires convaincus. (fr)
- Chanoine de Luçon en 1759, chancelier de l'évêque de Luçon en 1764. (fr)
- Un autre gentilé, celui de « Guyonniériens », peut être cité, mais il semble étendu. (fr)
- Avant 1306 de Guioneria (fr)
- Ancien émigré, veuf, ordonné en 1803, chanoine de Nantes en 1817, père de Jacques-Gabriel, comte Duchaffault (fr)
- Les fouilles archéologiques lors de la démolition de la cantine scolaire pour la construction de l'EHPAD, rue de l’Abbé-Grelier, ont identifié un « enclos paroissial » quadrangulaire en partie délimité par des douves encore visibles sur le cadastre de 1816, avec un creusement orienté nord-est – sud-ouest d'une largeur et d'une profondeur minimale de . « Il pourrait correspondre à un tronçon de douve, non conservé sur le cadastre napoléonien, bien que son comblement n’ait livré que du mobilier d’époque romaine. » (fr)
- À l’origine « Maison-Chevalier ». (fr)
- Doyen du chapitre de la collégiale de Montaigu en 1770, officier municipal de cette même commune en 1790, il aurait prêté serment à la Constitution civile de 1792, et se serait exilé à Nantes, probablement lors de la prise de Montaigu par les insurgés en mars 1793. (fr)
- Le lieu-dit était auparavant orthographié « la Court ». Jadis, à la place de cette ferme, se serait élevé "un castel artificiellement fortifié, avec tours, courtines et fossés, ou sauts de loup" habité par la famille du Planty. Dugast-Matifeux y relate la découverte d'une grosse bague chevalière en or, sans ornementation, de l'époque gallo-romaine. (fr)
- Autrefois siège d'une seigneurie dont le titre fut porté, au et , par plusieurs membres de la famille Baudry d'Asson. (fr)
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