. "31"^^ . . . . . . . "Mich\u00E8le Vend\u00F4me"@fr . . . . "Mich\u00E8le Vend\u00F4me, de son vrai nom Micheline Wraskoff, est une paroli\u00E8re, fille du pianiste, chef d\u2019orchestre et orchestrateur Raymond Wraskoff.Elle rencontre la compositrice Jacqueline Batel \u00E0 la SACEM, qui met ses textes en musique et les propose \u00E0 Lucienne Delyle, qui les enregistre.Parmi ces chansons figurent Qu\u2019est-ce que \u00E7a peut faire et On dit.Elle donne \u00E0 la compositrice Florence V\u00E9ran le texte de Margot c\u0153ur gros, chanson destin\u00E9e \u00E0 \u00C9dith Piaf qui est emball\u00E9e par la chanson et l\u2019accepte d\u2019embl\u00E9e. \u00C9dith Piaf chantera encore Les gens et L\u2019homme de Berlin avec Francis Lai.Pour Jacqueline Fran\u00E7ois, elle compose Les mots d\u2019amour n\u2019ont pas d\u2019\u00E2ge (1957), \u00C0 Capri (1958) et \u00C7a ressemble \u00E0 quoi (1958).Elle compose encore pour Guylaine Guy (Pourquoi partir d\u2019ici, 1957), Agla\u00E9 (C\u2019est aujourd\u2019hui le printemps, 1957), Philippe Clay (Nous avons toujours habit\u00E9 cette maison) et Annie Cordy (Je t\u2019aime, 1957).Dans les ann\u00E9es 1960, Sheila et Dalida se partagent Chaque instant de chaque jour (1964). En 1957, Dalida avait d\u00E9j\u00E0 interpr\u00E9t\u00E9 Fado et Sheila, apr\u00E8s le succ\u00E8s remport\u00E9 par la chanson, chante Oui il faut croire (1964) et Il faut se quitter (1965).Autres interpr\u00E8tes : T\u00E9r\u00E9za (Quand l\u2019amour veut partir), Bob Azzam (Week-end \u00E0 Portofino), Romuald (Demain) et Monty (Il faut s\u2019en aller).Apr\u00E8s 1970, Mich\u00E8le Vend\u00F4me compose pour R\u00E9gine, Patricia (Ne crois pas ne crois plus), Mireille Mathieu (Pour un c\u0153ur sans amour), Marie Lafor\u00EAt (Combien de temps dure un chagrin d\u2019amour), Alice Dona (\u00C0 trop r\u00E9p\u00E9ter, Un chagrin \u00E0 oublier, Pour trouver ton c\u0153ur) ainsi que pour la qu\u00E9b\u00E9coise Nicole Martin (La fin du monde, titre paru en 1977 sur l'album Je lui dirai).\u00C0 partir de 1971, elle \u00E9crit pour Claude Fran\u00E7ois plusieurs titres : Comme un jour nouveau (1971) Aime-moi ou quitte-moi (1971) Donne un peu de r\u00EAve (1971) Et je ne pense plus \u00E0 toi (1971) En attendant (1972) Pourvu que je me souvienne du soleil (1972) Qu'on ne vienne pas me dire (1972) J\u00E9sus-Christ superstar (1972) L'amour c'est comme \u00E7a (1973) De la peine, pas de chagrin (1973) Gens qui rient, Gens qui pleurent (1973) Dis-lui pour moi (1973)Portail de la musique Portail de la musique"@fr . . . . . "Mich\u00E8le Vend\u00F4me, de son vrai nom Micheline Wraskoff, est une paroli\u00E8re, fille du pianiste, chef d\u2019orchestre et orchestrateur Raymond Wraskoff.Elle rencontre la compositrice Jacqueline Batel \u00E0 la SACEM, qui met ses textes en musique et les propose \u00E0 Lucienne Delyle, qui les enregistre.Parmi ces chansons figurent Qu\u2019est-ce que \u00E7a peut faire et On dit.Elle donne \u00E0 la compositrice Florence V\u00E9ran le texte de Margot c\u0153ur gros, chanson destin\u00E9e \u00E0 \u00C9dith Piaf qui est emball\u00E9e par la chanson et l\u2019accepte d\u2019embl\u00E9e. "@fr . . . . . "108830188"^^ . "694447"^^ . . . . . . . . "2723"^^ . . . . . . . . . . . . .