Мартин Буцер
Martin Bucer
Martin Bucer
马丁·布策
Martin Bucer
Martin Bucer
Martin Bucer
Martin Bucer
Martin Bucer
Martin Bucer
Martin Bucer (ou Butzer), né le 11 novembre 1491 à Sélestat et mort le 28 février 1551 à Cambridge, est un théologien et un réformateur protestant alsacien. Il est à l'origine de la confirmation protestante. Malgré sa passion de l'unité des chrétiens et ses talents de médiateur, il est obligé de fuir Strasbourg à cause de son rejet de l'Intérim de Charles Quint et de passer la fin de sa vie en exil en Angleterre. Son type d'Église ne survit pas à son départ, la Tétrapolitaine étant abandonnée quelques années plus tard.
1551-02-28
1491-11-11
108810
190039125
54915
Konrad Trewe von Friedensleben
Luithold Waremund
Felinus Aretius
Conrad Treu
Martin Bucer
2014-04-18
1491-11-11
calendrier des saints de l’Église luthérienne
Prédication
1777
de
jan
Martin Bucer
Hammann
102859148
calendrier des saints de l’Église luthérienne
Un réformateur sous le microscope : Martin Bucer ou le navire échoué
Evangelischer_Namenkalender
XLVIII
BA
Martin Bucer à l'âge de 53 ans (gravure deRené Boyvin).
Martin Bucer (ou Butzer), né le 11 novembre 1491 à Sélestat et mort le 28 février 1551 à Cambridge, est un théologien et un réformateur protestant alsacien. Il est à l'origine de la confirmation protestante. Humaniste et théologien original, Martin Bucer est l'une des figures de proue de la Réforme protestante au XVIe siècle, même s'il n'a pas bénéficié de la postérité d'un Luther, d'un Zwingli ou d'un Calvin. Grand admirateur de Luther, Bucer est présent à la dispute de Heidelberg en 1518, ainsi qu'à la plupart des grandes discussions théologiques de l'Empire, jusqu'à la diète d'Augsbourg de 1548. Progressivement, il est devenu le chef de l'Église strasbourgeoise, où il œuvre de 1523 à 1549. C'est avec ce statut qu'il rédige la Confession tétrapolitaine, c'est-à-dire la confession de foi de Strasbourg, Memmingen, Constance et Lindau. Sa vie est marquée par les efforts de réconciliation, souvent vains, qu'il déploya entre Luther et Zwingli, faisant de lui le réformateur à la fois le plus conciliateur de son temps, mais aussi le plus voyageur (il a effectué plus d'une quarantaine de voyages afin de convaincre les différents tenants de la Réforme). Malgré sa passion de l'unité des chrétiens et ses talents de médiateur, il est obligé de fuir Strasbourg à cause de son rejet de l'Intérim de Charles Quint et de passer la fin de sa vie en exil en Angleterre. Son type d'Église ne survit pas à son départ, la Tétrapolitaine étant abandonnée quelques années plus tard.