Gécamines
Gécamines
La Gécamines, ou Société générale des carrières et des mines (GCM), est une société commerciale de droit privé détenue à 100 % par l’État de la République démocratique du Congo qui concentre ses activités autour de la prospection, la recherche et l’exploitation de réserves minières dans l’ancienne province du Katanga. Gécamines est historiquement basée à Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga. Elle est l’une des plus importantes entreprises de RDC et le principal contributeur au budget de l’État congolais.
400661
190251325
45554
Générale des Carrières et des Mines
China Nonferrous Metal Mining Group
Générale des Carrières et des Mines
China Nonferrous Metal Mining Group
China_Nonferrous_Metal_Mining_Group
2
8500
Société d'État
Gécamines
Cuivre et Cobalt
1967
8500
La Gécamines, ou Société générale des carrières et des mines (GCM), est une société commerciale de droit privé détenue à 100 % par l’État de la République démocratique du Congo qui concentre ses activités autour de la prospection, la recherche et l’exploitation de réserves minières dans l’ancienne province du Katanga. Gécamines est historiquement basée à Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga. Elle est l’une des plus importantes entreprises de RDC et le principal contributeur au budget de l’État congolais. Les exploitations minières du Katanga, situées sur de vastes gisements miniers de la Copperbelt, ont fait de la Gécamines le poumon économique d'une série d’États qui ont donné l'actuelle République démocratique du Congo. Elle fut créée en 1967 pour remplacer la société belge l'Union minière du Haut Katanga, et emploie aujourd'hui 8 500 personnes travaillant au sein de plusieurs sites industriels et concessions dont les sièges sont à Lubumbashi, Likasi (à 120 km de Lubumbashi) et Kolwezi (à près de 300 km de Lubumbashi). La Gécamines et les entreprises qui l'ont précédée ont été économiquement et politiquement dominants dans la région et dans la province du Katanga, source de la fortune minière de Kolwezi et longtemps présente « de la vie à la mort » pour la plupart des Katangais.