بلاز سندرار
Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
بلاز سندرار
Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
ブレーズ・サンドラール
Frédéric Louis Sauser, dit Blaise Cendrars [blɛz sɑ̃dʁaːʁ], est un écrivain suisse et français, né le 1er septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds (Suisse) et mort le 21 janvier 1961 à Paris. À ses débuts, il utilise brièvement les pseudonymes Freddy Sausey, Jack Lee et Diogène. Le 16 février 1916, il est naturalisé français, à la suite de son engagement à la guerre. Il travaille dans l'édition et délaisse un temps la littérature pour le cinéma, mais sans succès. Lassé des milieux littéraires parisiens, il voyage au Brésil à partir de 1924.
1961-01-21
1887-09-01
4021438
191415468
Freddy Sausey, Frédéric Sausey, Jack Lee, Diogène, Blaise Cendrars
81367
Jack Lee
Diogene
Freddy Sausey
Blaise Cendrars
Category:Blaise Cendrars
1887-09-01
La Chaux-de-Fonds,
Blaise Cendrars
Frédéric Louis Sauser
Freddy Sausey, Frédéric Sausey, Jack Lee, Diogène, Blaise Cendrars
Blaise Cendrars
Grand Prix littéraire de la Ville de Paris
Auteur:Blaise Cendrars
Blaise Cenrdars (Unterschrift).jpg
Frédéric Louis Sauser
Frédéric Louis Sauser
Cendrars vers 1931 photographié parJindřich Štyrský.
Frédéric Louis Sauser, dit Blaise Cendrars [blɛz sɑ̃dʁaːʁ], est un écrivain suisse et français, né le 1er septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds (Suisse) et mort le 21 janvier 1961 à Paris. À ses débuts, il utilise brièvement les pseudonymes Freddy Sausey, Jack Lee et Diogène. Dès l'âge de 17 ans, il quitte la Suisse pour un long séjour en Russie puis, en 1911, il se rend à New York où il écrit son premier poème Les Pâques (qui deviendra Les Pâques à New York en 1919). Il le publie à Paris en 1912 sous le pseudonyme de Blaise Cendrars, qui fait allusion aux braises et aux cendres permettant la renaissance cyclique du phénix. En 1913, il fait paraître son poème le plus célèbre, La Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France. Dès le début de la guerre de 1914-1918, il s'engage comme volontaire étranger dans l'armée française avant d'être versé dans la Légion étrangère. Parmi ses compagnons d'armes de la Légion, figure notamment Eugene Jacques Bullard, premier pilote noir des forces alliées à partir de 1917. Gravement blessé le 28 septembre 1915, Cendrars est amputé du bras droit et en conséquence réformé. Il écrit sur cette expérience son premier récit en prose : il s'agit d’une première version de La Main coupée. Le 16 février 1916, il est naturalisé français, à la suite de son engagement à la guerre. Il travaille dans l'édition et délaisse un temps la littérature pour le cinéma, mais sans succès. Lassé des milieux littéraires parisiens, il voyage au Brésil à partir de 1924. En 1925, il s'oriente vers le roman avec L'Or, où il retrace le dramatique destin de Johann August Sutter, millionnaire d'origine suisse ruiné par la découverte de l'or sur ses terres en Californie. Ce succès mondial va faire de lui, durant les années 1920, un romancier de l'aventure, que confirme Moravagine en 1926. Dans les années 1930, il devient grand reporter. Correspondant de guerre dans l'armée anglaise en 1939, il quitte Paris après la débâcle et s'installe à Aix-en-Provence. Après trois ans de silence, il commence en 1943 à écrire ses Mémoires : L'Homme foudroyé (1945), La Main coupée (1946), Bourlinguer (1948) et Le Lotissement du ciel (1949). De retour à Paris en 1950, il collabore fréquemment à la Radiodiffusion française. Victime d'une congestion cérébrale le 21 juillet 1956, il meurt des suites d'une seconde attaque le 21 janvier 1961. L'œuvre de Blaise Cendrars, poésie, romans, reportages et mémoires, est placée sous le signe du voyage, de l'aventure, de la découverte et de l'exaltation du monde moderne où l'imaginaire se mêle au réel de façon inextricable. Le fonds d'archives de Blaise Cendrars a été créé en 1975 par Miriam Gilou-Cendrars (1919-2018), sa fille, et se trouve aux Archives littéraires suisses à Berne.