Antigone (Anouilh)
Antígona (Anouilh)
Антігона (п'єса)
Antigone (Anouilh)
Antigone est une pièce en un acte de Jean Anouilh représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, durant l'Occupation allemande, dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq. Réécriture de la pièce éponyme de Sophocle, elle fait partie de la série des Nouvelles Pièces noires, avec Jézabel (1932), Roméo et Jeannette (1946) et Médée (1953). La pièce est inspirée du mythe antique d'Antigone, la fille d'Œdipe, mais est écrite en rupture avec les codes de la tragédie grecque : — Jean Anouilh.
212251
190659525
25490
Antigone
Éditions de la Table ronde
Jean Anouilh
Alain Sable
Hélène Potelet
Niels Thorez
Georges Decote
Ted Freeman
Étienne Frois
Charles Delattre
Fiche de lecture
Methuen Drama
Analyse d’œuvre
Œuvres & thèmes
Profil d'une œuvre
La Petite Vermillon
Connaissance d'une œuvre
2014
978
en
fr
Paris
128
127
80
95
72
Antigone
Jézabel, Antigone, Roméo et Jeannette, Médée
Antigone et le mythe d’Œdipe
La vicomtesse d'Eristal n'a pas reçu son balai mécanique
Nouvelles pièces noires
Antigone
Anouilh
Antigone de Jean Anouilh
Antigone, Jean Anouilh
435121341
1946
Paris
Barbara Bray
128
1944-02-04
1944
Antigone est une pièce en un acte de Jean Anouilh représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, durant l'Occupation allemande, dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq. Réécriture de la pièce éponyme de Sophocle, elle fait partie de la série des Nouvelles Pièces noires, avec Jézabel (1932), Roméo et Jeannette (1946) et Médée (1953). La pièce est inspirée du mythe antique d'Antigone, la fille d'Œdipe, mais est écrite en rupture avec les codes de la tragédie grecque : « L'Antigone de Sophocle, lue et relue, et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre. » — Jean Anouilh.