Élections municipales françaises de 2001
2001 French municipal elections
Les élections municipales françaises de 2001 se déroulent les 11 et 18 mars. Elles sont marquées par un fort recul de la gauche au bénéfice de la droite, notamment dans les villes populaires mais aussi par quelques victoires symboliques du Parti socialiste dans des villes traditionnellement conservatrices et bourgeoises, marquant une évolution notable de la sociologie politique française. À l'issue du second tour, la droite contrôle 318 municipalités de plus de 15 000 habitants, contre 259 pour l'ensemble de la gauche.
1589
1745
594576
190847341
155406
Municipales_2001.png
2001-03-11
2001-03-18
France
Élections municipales de 2001 à Lyon
Élections municipales de 2001 à Marseille
Élections municipales de 2001 à Argenteuil
Élections municipales de 2001 à Cahors
43506
411520
12613
218140
344511
1550
7025
1558
7085
6409
1155
2931
2697
30168
2421
2089
9063
3837
62418
43043
8382
5119
15113
21579
31918
82234
9692
4284
851
566
601
679
733
274
353
UDF dissident
De Gaulle
Inconnu
Le Gallou
Patrice Crunil
Alima Boumediene-Thiery
Homar Slaouti
Maurice Gros
François Franceschi
Micheline Bruna
2008
24747
8808
9719
214637
143093
185119
22447
134347
280
Résultats dans les communes de plus de
59711914
67097
86472
4710
12242
4500
9979
69815
50123
19364
21745
130597
Les élections municipales françaises de 2001 se déroulent les 11 et 18 mars. Elles sont marquées par un fort recul de la gauche au bénéfice de la droite, notamment dans les villes populaires mais aussi par quelques victoires symboliques du Parti socialiste dans des villes traditionnellement conservatrices et bourgeoises, marquant une évolution notable de la sociologie politique française. Si la majorité des villes de plus de 100 000 habitants reste gérée par la droite, celle-ci ne dirige plus que trois des cinq plus grandes villes de France après la perte de sa majorité en siège dans les villes de Paris et de Lyon. À l'issue du second tour, la droite contrôle 318 municipalités de plus de 15 000 habitants, contre 259 pour l'ensemble de la gauche.